"Depuis le début, les Français nous ont informés qu'ils ne pouvaient nous transmettre ces résultats que dans le cadre d'une coopération judiciaire franco-palestinienne", a expliqué M. Mhanna lors d'une conférence de presse de la commission d'enquête palestinienne sur la mort d'Arafat à Ramallah en Cisjordanie.
"Nous avons demandé à la partie française de nous fournir les résultats et les conclusions des analyses réalisées en France sur les échantillons d'Abou Ammar (Yasser Arafat, NDLR) pour achever l'enquête palestinienne", a-t-il ajouté, assurant que la partie palestinienne avait pleinement coopéré à l'enquête française.
"Nous n'avons reçu aucune réponse jusqu'à présent de la partie française. Nous avons envoyé une nouvelle lettre aux Français demandant d'accélérer l'envoi des résultats et nous attendons toujours", a souligné le ministre palestinien.
"La France connaît toute la vérité et les détails sur le martyre de Yasser Arafat", a affirmé de son côté le président de la commission d'enquête Tawfiq Tiraoui, relevant que des trois équipes - suisse, russe et française - ayant analysé les échantillons de la dépouille d'Arafat, seule cette dernière n'a pas communiqué son rapport.
L'équipe française agissait dans le cadre d'une information judiciaire pour assassinat ouverte en 2012 en France à la suite d'une plainte contre X déposée par la veuve du dirigeant historique palestinien, Souha Arafat.
M. Tiraoui, a désigné vendredi Israël comme le "principal et unique suspect de l'assassinat" du dirigeant historique palestinien, précisant que la commission se fondait notamment sur les conclusions des rapports suisse et russe.
Les causes de la mort de Yasser Arafat le 11 novembre 2004 dans un hôpital militaire français n'ont pas été élucidées, et nombre de Palestiniens soupçonnent Israël, qui a toujours nié, de l'avoir empoisonné.
"Nous avons demandé à la partie française de nous fournir les résultats et les conclusions des analyses réalisées en France sur les échantillons d'Abou Ammar (Yasser Arafat, NDLR) pour achever l'enquête palestinienne", a-t-il ajouté, assurant que la partie palestinienne avait pleinement coopéré à l'enquête française.
"Nous n'avons reçu aucune réponse jusqu'à présent de la partie française. Nous avons envoyé une nouvelle lettre aux Français demandant d'accélérer l'envoi des résultats et nous attendons toujours", a souligné le ministre palestinien.
"La France connaît toute la vérité et les détails sur le martyre de Yasser Arafat", a affirmé de son côté le président de la commission d'enquête Tawfiq Tiraoui, relevant que des trois équipes - suisse, russe et française - ayant analysé les échantillons de la dépouille d'Arafat, seule cette dernière n'a pas communiqué son rapport.
L'équipe française agissait dans le cadre d'une information judiciaire pour assassinat ouverte en 2012 en France à la suite d'une plainte contre X déposée par la veuve du dirigeant historique palestinien, Souha Arafat.
M. Tiraoui, a désigné vendredi Israël comme le "principal et unique suspect de l'assassinat" du dirigeant historique palestinien, précisant que la commission se fondait notamment sur les conclusions des rapports suisse et russe.
Les causes de la mort de Yasser Arafat le 11 novembre 2004 dans un hôpital militaire français n'ont pas été élucidées, et nombre de Palestiniens soupçonnent Israël, qui a toujours nié, de l'avoir empoisonné.