"Selon la description du chargement dans les documents et son apparence, l'armateur ne dispose pas d'informations, contrairement à ce qui est affirmé dans la presse, qu'il puisse s'agir d'armes, de munitions ou matériels militaires", a indiqué Bockstiegel dans un communiqué.
L'armateur insiste sur le fait que le respect des lois est pour lui une "évidence", notamment concernant l'embargo décrété par l'Union européenne sur les armes à destination de la Syrie en représailles aux violences commises par le régime du président Bachar al-Assad.
Selon les documents dont dispose l'armateur, le chargement à destination de la Syrie est composé d'éléments d'une centrale thermique, fabriqués en Inde et destinés au ministère syrien de l'Electricité.
L'armateur précise que seul le chargement placé en haut peut pour l'instant être inspecté par l'équipage. "Ce dernier a été inspecté. Selon ce qu'a pu voir l'équipage, il s'agit de tuyaux et tambours de câble", ajoute-t-il.
L'armateur dit avoir décidé, en accord avec le gouvernement allemand, de ne pas laisser le cargo se rendre dans un port syrien, tant que son chargement n'aura pas été contrôlé dans un port tiers.
Bockstiegel n'indique pas dans son communiqué dans quel port le bateau se rendra pour effectuer cette vérification, ni l'endroit où il se trouve actuellement. La dernière fois que l'AFP a pu visionner sur le site internet de l'armateur l'emplacement du bateau (dimanche après-midi), il se trouvait en mer Méditerranée entre l'île de Chypre et la côte syrienne.
Après la parution d'un article de l'hebdomadaire Der Spiegel faisant état d'armes à bord du cargo, le gouvernement allemand a indiqué samedi examiner une possible rupture d'embargo. "Le gouvernement allemand examine toutes les indications sur de possibles violations d'embargo", a déclaré à l'AFP une porte-parole du ministère allemand de l'Economie.
L'armateur insiste sur le fait que le respect des lois est pour lui une "évidence", notamment concernant l'embargo décrété par l'Union européenne sur les armes à destination de la Syrie en représailles aux violences commises par le régime du président Bachar al-Assad.
Selon les documents dont dispose l'armateur, le chargement à destination de la Syrie est composé d'éléments d'une centrale thermique, fabriqués en Inde et destinés au ministère syrien de l'Electricité.
L'armateur précise que seul le chargement placé en haut peut pour l'instant être inspecté par l'équipage. "Ce dernier a été inspecté. Selon ce qu'a pu voir l'équipage, il s'agit de tuyaux et tambours de câble", ajoute-t-il.
L'armateur dit avoir décidé, en accord avec le gouvernement allemand, de ne pas laisser le cargo se rendre dans un port syrien, tant que son chargement n'aura pas été contrôlé dans un port tiers.
Bockstiegel n'indique pas dans son communiqué dans quel port le bateau se rendra pour effectuer cette vérification, ni l'endroit où il se trouve actuellement. La dernière fois que l'AFP a pu visionner sur le site internet de l'armateur l'emplacement du bateau (dimanche après-midi), il se trouvait en mer Méditerranée entre l'île de Chypre et la côte syrienne.
Après la parution d'un article de l'hebdomadaire Der Spiegel faisant état d'armes à bord du cargo, le gouvernement allemand a indiqué samedi examiner une possible rupture d'embargo. "Le gouvernement allemand examine toutes les indications sur de possibles violations d'embargo", a déclaré à l'AFP une porte-parole du ministère allemand de l'Economie.