"Mohamed Khamis Dababech, chef du service de sécurité publique dépendant du Hamas, a été arrêté à son arrivée au Caire venant de Damas, à la fin de la semaine dernière", affirme le journal.
Al-Ahram, qui s'appuie sur une source non identifiée au sein des services de sécurité égyptiens, affirme qu'il est "soupçonné d'implication dans des activités nuisibles pour la sécurité nationale égyptienne, dont une tentative pour trafiquer une importante quantité de systèmes de télécommunications sophistiqués".
"Certains de ceux qui ont été participé à cette tentative de trafic que les services de sécurité égyptiens ont fait avorter ont avoué que Dababech était derrière cette opération", ajoute le journal, sans plus de détails.
Il est aussi accusé, selon le quotidien, d'être impliqué dans la mort en janvier dernier d'un policier égyptien lors d'un échange de tirs à la frontière avec la bande de Gaza, sous contrô le du Hamas.
Le journal indique que Mohamed Khamis Dababech était "responsable de l'ordre à la frontière entre l'Egypte et la bande de Gaza".
L'annonce de cette arrestation traduit le climat de tension entre l'Egypte et le Hamas. Le Caire reproche au mouvement islamiste d'être responsable du blocage des efforts de réconciliation avec l'Autorité palestinienne dirigée par Mahmoud Abbas.
L'Egypte a également accusé à mots couverts le Hamas d'être à l'origine de tirs de roquette vers Israël depuis le Sinaï égyptien en août dernier, un épisode qui avait mis le pays dans un profond embarras et l'avait amené à resserrer son dispositif de sécurité dans ce secteur.
Les tirs qui visaient la ville israélienne d'Eilat ont fait un mort dans le port jordanien voisin d'Aqaba.
L'Egypte a également renforcé la surveillance de sa frontière d'une vingtaine de kilomètres de long avec la bande de Gaza, sous embargo israélien.
Elle a toutefois décidé d'assouplir, pour des raisons humanitaires, le passage vers l'enclave au terminal de Rafah, à la suite de l'émotion provoquée par l'arraisonnement en mai dernier par les forces israéliennes d'une flottille internationale cherchant à briser l'embargo, au cours duquel 9 personnes avaient été tuées.
Al-Ahram, qui s'appuie sur une source non identifiée au sein des services de sécurité égyptiens, affirme qu'il est "soupçonné d'implication dans des activités nuisibles pour la sécurité nationale égyptienne, dont une tentative pour trafiquer une importante quantité de systèmes de télécommunications sophistiqués".
"Certains de ceux qui ont été participé à cette tentative de trafic que les services de sécurité égyptiens ont fait avorter ont avoué que Dababech était derrière cette opération", ajoute le journal, sans plus de détails.
Il est aussi accusé, selon le quotidien, d'être impliqué dans la mort en janvier dernier d'un policier égyptien lors d'un échange de tirs à la frontière avec la bande de Gaza, sous contrô le du Hamas.
Le journal indique que Mohamed Khamis Dababech était "responsable de l'ordre à la frontière entre l'Egypte et la bande de Gaza".
L'annonce de cette arrestation traduit le climat de tension entre l'Egypte et le Hamas. Le Caire reproche au mouvement islamiste d'être responsable du blocage des efforts de réconciliation avec l'Autorité palestinienne dirigée par Mahmoud Abbas.
L'Egypte a également accusé à mots couverts le Hamas d'être à l'origine de tirs de roquette vers Israël depuis le Sinaï égyptien en août dernier, un épisode qui avait mis le pays dans un profond embarras et l'avait amené à resserrer son dispositif de sécurité dans ce secteur.
Les tirs qui visaient la ville israélienne d'Eilat ont fait un mort dans le port jordanien voisin d'Aqaba.
L'Egypte a également renforcé la surveillance de sa frontière d'une vingtaine de kilomètres de long avec la bande de Gaza, sous embargo israélien.
Elle a toutefois décidé d'assouplir, pour des raisons humanitaires, le passage vers l'enclave au terminal de Rafah, à la suite de l'émotion provoquée par l'arraisonnement en mai dernier par les forces israéliennes d'une flottille internationale cherchant à briser l'embargo, au cours duquel 9 personnes avaient été tuées.