L'attaque du consulat a provoqué une tempête politique aux Etats-Unis, à l'approche des élections du 6 novembre. Les républicains emmenés par Mitt Romney ont reproché au gouvernement démocrate du président Barack Obama leur manque de préparation et de réaction.
Selon le journal américain, seuls sept des 30 responsables américains évacués de Benghazi à la suite de cette attaque travaillaient pour le département d'Etat.
Les deux agents de sécurité tués le 11 septembre travaillaient également pour l'Agence centrale de renseignement et non pour le ministère américain des Affaires étrangères, le département d'Etat, indique le WSJ.
Plus d'une vingtaine de membres de la CIA opéraient en secret dans un bâtiment annexe du consulat, où s'étaient retranchés des membres du personnel après une première attaque.
L'objectif de cette mission secrète, entamée peu après le début en février 2011 du mouvement de révolte qui allait entraîner la chute de l'ancien dictateur Mouammar Kadhafi, était de lutter contre le terrorisme et de mettre la main sur les armes lourdes du régime, selon le journal.
Des problèmes de communication entre la CIA et le département d'Etat pourraient expliquer les failles en matière de sécurité mises au jour lors de cette attaque, poursuit le Wall Street Journal.
Selon le journal américain, seuls sept des 30 responsables américains évacués de Benghazi à la suite de cette attaque travaillaient pour le département d'Etat.
Les deux agents de sécurité tués le 11 septembre travaillaient également pour l'Agence centrale de renseignement et non pour le ministère américain des Affaires étrangères, le département d'Etat, indique le WSJ.
Plus d'une vingtaine de membres de la CIA opéraient en secret dans un bâtiment annexe du consulat, où s'étaient retranchés des membres du personnel après une première attaque.
L'objectif de cette mission secrète, entamée peu après le début en février 2011 du mouvement de révolte qui allait entraîner la chute de l'ancien dictateur Mouammar Kadhafi, était de lutter contre le terrorisme et de mettre la main sur les armes lourdes du régime, selon le journal.
Des problèmes de communication entre la CIA et le département d'Etat pourraient expliquer les failles en matière de sécurité mises au jour lors de cette attaque, poursuit le Wall Street Journal.