Abou Yaacoub et un second terroriste présumé, se trouvaient à bord d'une Audi A3 immatriculée en Espagne et qui aurait servi au second attentat qui a secoué Cambrils (Catalogne) vendredi, quand ils ont été flashés dans l'Essonne (en région parisienne), avaient révélé lundi, plusieurs médias français.
S'exprimant sur la chaîne d'information locale "BFM TV" Collomb a confirmé ces révélations, précisant que les deux terroristes présumés ont effectué "un aller-retour extrêmement rapide" entre la Catalogne et la France.
"Elle (la voiture) a bien été flashée" le 12 août, a-t-il assuré.
"Nous savions (...) qu'ils étaient venus effectivement en région parisienne, et nous avons transmis ces informations" à l'Espagne, a précisé le ministre. Il est "peut-être trop tôt dans l'enquête" pour expliquer les raisons de cet "aller-retour", a-t-il ajouté.
D'après la chaîne "BFM TV", qui cite une source proche de l'enquête, les deux terroristes présumés auraient passé " la nuit dans un hôtel de la région parisienne avant de se rendre dans la capitale pour effectuer des achats dans un grand magasin".
"Après avoir réalisé leurs achats, les deux complices sont repartis vers la Catalogne en passant, notamment, par le Puy-de-Dôme et l'Aube où la plaque d'immatriculation du véhicule a été lue", précise le média.
La police de Barcelone a confirmé, lundi, la mort de Younes Abou Yaacoub. On ignore encore l'identité de son complice qui appartenait lui aussi à une cellule composée de douze terroristes présumés.
La ville de Barcelone a assisté jeudi, à une attaque à la voiture-bélier qui a fait au moins 14 morts et une centaine de blessés, selon les autorités espagnoles.
Une seconde attaque, survenue quelques heures plus tard, à Cambrils, une station balnéaire à 130 kilomètres au sud de la capitale catalane, a fait sept blessés. Cinq présumés terroristes ont également été abattus.
Les deux attaques ont été revendiquées par le groupe terroriste Daech.
S'exprimant sur la chaîne d'information locale "BFM TV" Collomb a confirmé ces révélations, précisant que les deux terroristes présumés ont effectué "un aller-retour extrêmement rapide" entre la Catalogne et la France.
"Elle (la voiture) a bien été flashée" le 12 août, a-t-il assuré.
"Nous savions (...) qu'ils étaient venus effectivement en région parisienne, et nous avons transmis ces informations" à l'Espagne, a précisé le ministre. Il est "peut-être trop tôt dans l'enquête" pour expliquer les raisons de cet "aller-retour", a-t-il ajouté.
D'après la chaîne "BFM TV", qui cite une source proche de l'enquête, les deux terroristes présumés auraient passé " la nuit dans un hôtel de la région parisienne avant de se rendre dans la capitale pour effectuer des achats dans un grand magasin".
"Après avoir réalisé leurs achats, les deux complices sont repartis vers la Catalogne en passant, notamment, par le Puy-de-Dôme et l'Aube où la plaque d'immatriculation du véhicule a été lue", précise le média.
La police de Barcelone a confirmé, lundi, la mort de Younes Abou Yaacoub. On ignore encore l'identité de son complice qui appartenait lui aussi à une cellule composée de douze terroristes présumés.
La ville de Barcelone a assisté jeudi, à une attaque à la voiture-bélier qui a fait au moins 14 morts et une centaine de blessés, selon les autorités espagnoles.
Une seconde attaque, survenue quelques heures plus tard, à Cambrils, une station balnéaire à 130 kilomètres au sud de la capitale catalane, a fait sept blessés. Cinq présumés terroristes ont également été abattus.
Les deux attaques ont été revendiquées par le groupe terroriste Daech.