Le président français "veut la paix pour la région", il "va essayer de voir tout le monde" durant ce déplacement et "de voir comment il peut aider les Palestiniens", et "essayer d'arrêter ce qui se passe à Gaza", a déclaré M. Hariri en français devant la presse à l'issue de cet entretien d'une cinquantaine de minutes.
Interrogé sur les risques de contagion du conflit au Liban, où le mouvement chiite du Hezbollah soutient le Hamas, le président du Mouvement du Futur a fait état de craintes. "Mais on a parlé avec tous les partis politiques au Liban", "tout le monde reconnaît le danger" que la région traverse et "je crois que personne ne prendra une décision tout seul" pour provoquer "une crise aussi au Liban", a-t-il dit.
A l'été 2006, l'armée israélienne avait mené une guerre Liban contre le Hezbollah, qui tirait des roquettes sur Israël. Le 28 décembre, le secrétaire général du mouvement chiite libanais Hassan Nasrallah a assuré que ses miliciens étaient "prêts à faire face à toute agression sur notre territoire".
M. Hariri a également évoqué avec M. Sarkozy le rôle que peut jouer la France, membre permanent du conseil de sécurité de l'ONU, par le biais de cette instance pour tenter d'arriver à un cessez-le-feu, selon une traduction de ses déclarations faites en arabe.
Le président français, qui avait reçu jeudi à l'Elysée la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, se rendra lundi en Egypte, en Cisjordanie et en Israël, et mardi en Syrie et au Liban.
Israël a poursuivi vendredi, pour le 7e jour consécutif, ses bombardements aériens de la bande de Gaza, qui ont tué la veille un des chefs du mouvement islamiste Hamas et fait au moins 420 morts depuis le déclenchement de l'opération israélienne le 27 décembre.
Interrogé sur les risques de contagion du conflit au Liban, où le mouvement chiite du Hezbollah soutient le Hamas, le président du Mouvement du Futur a fait état de craintes. "Mais on a parlé avec tous les partis politiques au Liban", "tout le monde reconnaît le danger" que la région traverse et "je crois que personne ne prendra une décision tout seul" pour provoquer "une crise aussi au Liban", a-t-il dit.
A l'été 2006, l'armée israélienne avait mené une guerre Liban contre le Hezbollah, qui tirait des roquettes sur Israël. Le 28 décembre, le secrétaire général du mouvement chiite libanais Hassan Nasrallah a assuré que ses miliciens étaient "prêts à faire face à toute agression sur notre territoire".
M. Hariri a également évoqué avec M. Sarkozy le rôle que peut jouer la France, membre permanent du conseil de sécurité de l'ONU, par le biais de cette instance pour tenter d'arriver à un cessez-le-feu, selon une traduction de ses déclarations faites en arabe.
Le président français, qui avait reçu jeudi à l'Elysée la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, se rendra lundi en Egypte, en Cisjordanie et en Israël, et mardi en Syrie et au Liban.
Israël a poursuivi vendredi, pour le 7e jour consécutif, ses bombardements aériens de la bande de Gaza, qui ont tué la veille un des chefs du mouvement islamiste Hamas et fait au moins 420 morts depuis le déclenchement de l'opération israélienne le 27 décembre.