Des coups de feu étaient entendus alors qu'une poignée de protestataires qui se trouvaient dans le secteur offraient une faible résistance.
Des hélicoptères survolaient la zone tandis que les troupes escortaient un bulldozer qui dégageaient les accès -- fermés par les manifestants à l'aide de gros blocs -- menant au district financier où sont basées des banques internationales et des multinationales.
Quelques groupes de protestataires criaient "Allah Akbar" (Dieu est le plus grand) et mettaient le feu à des poubelles dans les rues, mais le secteur était en majorité déserté.
Les forces bahreïnies avaient auparavant violemment délogé les manifestants qui campaient depuis près d'un mois sur la place de La Perle à Manama pour réclamer des réformes.
Des centaines de policiers de la force anti-émeutes, arrivés à bord de chars, de véhicules de transport de troupes et de bus, ont pris le contrô le de la place après avoir lancé des dizaines de grenades lacrymogènes sur les manifestants, en majorité chiites.
Les policiers ont également tiré au fusil de chasse sur les manifestants. Il n'a pas été possible dans l'immédiat de savoir si l'assaut avait fait des victimes.
L'assaut est intervenu après l'arrivée dans le royaume de forces des pays voisins du Golfe, venues aider la dynastie sunnite des Al Khalifa à contenir la contestation.
Le chef de l'opposition chiite, cheikh Ali Salmane, a affirmé que le régime se conduisait comme le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, en faisant montre d'une "extrême brutalité" à l'égard de son peuple.
"Nous appelons nos fils à ne pas affronter les forces de sécurité et à sauver les vies de tout le monde", a-t-il déclaré dans une interview à la chaîne Al-Jazira.
"Nous réaffirmons le caractère pacifique du soulèvement malgré les voyous déployés par le régime", a-t-il ajouté.
Cheikh Ali Salmane a également appelé les Nations unies à "intervenir pour protéger les civils des forces qui agissent avec eux comme avec des ennemis".
Des hélicoptères survolaient la zone tandis que les troupes escortaient un bulldozer qui dégageaient les accès -- fermés par les manifestants à l'aide de gros blocs -- menant au district financier où sont basées des banques internationales et des multinationales.
Quelques groupes de protestataires criaient "Allah Akbar" (Dieu est le plus grand) et mettaient le feu à des poubelles dans les rues, mais le secteur était en majorité déserté.
Les forces bahreïnies avaient auparavant violemment délogé les manifestants qui campaient depuis près d'un mois sur la place de La Perle à Manama pour réclamer des réformes.
Des centaines de policiers de la force anti-émeutes, arrivés à bord de chars, de véhicules de transport de troupes et de bus, ont pris le contrô le de la place après avoir lancé des dizaines de grenades lacrymogènes sur les manifestants, en majorité chiites.
Les policiers ont également tiré au fusil de chasse sur les manifestants. Il n'a pas été possible dans l'immédiat de savoir si l'assaut avait fait des victimes.
L'assaut est intervenu après l'arrivée dans le royaume de forces des pays voisins du Golfe, venues aider la dynastie sunnite des Al Khalifa à contenir la contestation.
Le chef de l'opposition chiite, cheikh Ali Salmane, a affirmé que le régime se conduisait comme le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, en faisant montre d'une "extrême brutalité" à l'égard de son peuple.
"Nous appelons nos fils à ne pas affronter les forces de sécurité et à sauver les vies de tout le monde", a-t-il déclaré dans une interview à la chaîne Al-Jazira.
"Nous réaffirmons le caractère pacifique du soulèvement malgré les voyous déployés par le régime", a-t-il ajouté.
Cheikh Ali Salmane a également appelé les Nations unies à "intervenir pour protéger les civils des forces qui agissent avec eux comme avec des ennemis".