D’après une note publiée par la Direction des études du ministère de la santé, le nombre de bénéficiaires de minima sociaux - hors allocation pour demandeur d’asile (ADA) - a reculé de 1,8% en 2016, pour s’établir à 4,07 millions de personnes.
“Cette évolution tient surtout au nombre d’allocataires du RSA qui diminue de 4,3% en 2016, une baisse qui se poursuit en 2017 (-0,5%)”, soulignent les ministères de la Santé, du Travail et des Comptes publics dans un communiqué commun.
Le reflux du nombre de bénéficiaires du RSA s’explique principalement par l’amélioration de la situation du marché du travail en 2016, sous l’effet de la baisse du taux de chômage et du dynamisme des créations d’emplois, soulignent les auteurs de la note.
Mais la mise en place au 1er janvier 2016 de la prime d’activité, qui a remplacé le RSA activité, a également contribué à la baisse des effectifs, notent-ils.
Autre allocation dont l’évolution est corrélée à celle de la situation du marché du travail, l’allocation de solidarité spécifique (ASS) a également vu ses effectifs se réduire en 2016 (-3,9%). Elle est destinée à certaines personnes ayant épuisé leurs droits au chômage.
A l’inverse, le nombre de bénéficiaires de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) a progressé en 2016 quasiment au même rythme que lors des quatre années précédentes (+2,6%) tandis que le nombre d’allocataires du minimum vieillesse est resté stable de 2013 à 2016.
En incluant les conjoints et les enfants à charge, environ sept millions de personnes, soit 11% de l’ensemble de la population, étaient couvertes par les minima sociaux fin 2016.
Sur ce total, 331.000 allocataires résidaient dans les départements et territoires d’Outre-mer, où un tiers de la population est couverte.
En 2016, le montant total des dépenses d’allocations pour les dix minima sociaux a atteint 26,2 milliards d’euros, soit 1,2% du produit intérieur brut (PIB).
La baisse du nombre de bénéficiaires s’est accompagnée d’un ralentissement de la progression de ces dépenses: elles ont affiché en 2016 une croissance de 1,5%, après avoir enregistré une croissance de 4,3% en moyenne annuelle entre 2009 et 2015 (en euros constants).
“Cette évolution tient surtout au nombre d’allocataires du RSA qui diminue de 4,3% en 2016, une baisse qui se poursuit en 2017 (-0,5%)”, soulignent les ministères de la Santé, du Travail et des Comptes publics dans un communiqué commun.
Le reflux du nombre de bénéficiaires du RSA s’explique principalement par l’amélioration de la situation du marché du travail en 2016, sous l’effet de la baisse du taux de chômage et du dynamisme des créations d’emplois, soulignent les auteurs de la note.
Mais la mise en place au 1er janvier 2016 de la prime d’activité, qui a remplacé le RSA activité, a également contribué à la baisse des effectifs, notent-ils.
Autre allocation dont l’évolution est corrélée à celle de la situation du marché du travail, l’allocation de solidarité spécifique (ASS) a également vu ses effectifs se réduire en 2016 (-3,9%). Elle est destinée à certaines personnes ayant épuisé leurs droits au chômage.
A l’inverse, le nombre de bénéficiaires de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) a progressé en 2016 quasiment au même rythme que lors des quatre années précédentes (+2,6%) tandis que le nombre d’allocataires du minimum vieillesse est resté stable de 2013 à 2016.
En incluant les conjoints et les enfants à charge, environ sept millions de personnes, soit 11% de l’ensemble de la population, étaient couvertes par les minima sociaux fin 2016.
Sur ce total, 331.000 allocataires résidaient dans les départements et territoires d’Outre-mer, où un tiers de la population est couverte.
En 2016, le montant total des dépenses d’allocations pour les dix minima sociaux a atteint 26,2 milliards d’euros, soit 1,2% du produit intérieur brut (PIB).
La baisse du nombre de bénéficiaires s’est accompagnée d’un ralentissement de la progression de ces dépenses: elles ont affiché en 2016 une croissance de 1,5%, après avoir enregistré une croissance de 4,3% en moyenne annuelle entre 2009 et 2015 (en euros constants).