Ban Ki-moon
Dans un entretien avec l'AP, Ban Ki-Moon a estimé que libérer les quelque 2.000 prisonniers politiques birmans pourrait au moins créer "l'impression que ces élections seraient plus ouvertes".
Le régime militaire a adopté de nouvelles lois qui empêchent l'opposante et prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi et d'autres prisonniers politiques de participer aux élections, qui sont considérées par beaucoup d'observateurs comme une mascarade.
Ban Ki-moon a reconnu que les prisonniers politiques "ne pourront pas participer au vote, mais cela créerait une atmosphère politique favorable" de les remettre en liberté. "Mais sans leur libération, il y aura certainement des questions sur la légitimité ou la crédibilité" des élections, a-t-il souligné, avant de s'entretenir avec le Premier ministre birman, le général Thein Sein prévu à Hanoï cette semaine.
La junte a placé en résidence surveillée Aung San Suu Kyi 15 ans sur les 21 dernières années. Elle devrait être libérée le 13 novembre, six jours après les élections.
Le régime militaire a adopté de nouvelles lois qui empêchent l'opposante et prix Nobel de la paix Aung San Suu Kyi et d'autres prisonniers politiques de participer aux élections, qui sont considérées par beaucoup d'observateurs comme une mascarade.
Ban Ki-moon a reconnu que les prisonniers politiques "ne pourront pas participer au vote, mais cela créerait une atmosphère politique favorable" de les remettre en liberté. "Mais sans leur libération, il y aura certainement des questions sur la légitimité ou la crédibilité" des élections, a-t-il souligné, avant de s'entretenir avec le Premier ministre birman, le général Thein Sein prévu à Hanoï cette semaine.
La junte a placé en résidence surveillée Aung San Suu Kyi 15 ans sur les 21 dernières années. Elle devrait être libérée le 13 novembre, six jours après les élections.