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Jim Yong Kim
L'agence officielle chinoise a toutefois regretté la persistance de la "règle non écrite" selon laquelle c'est une fois de plus un Américain qui est amené à diriger cette institution.
"Il est encourageant que le président américain Barack Obama ait choisi Jim Yong Kim, président du Dartmouth College et ancien directeur du département SIDA/VIH de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), comme candidat américain qui va très probablement prendre les rênes de cette organisation internationale chargée du développement", selon Chine nouvelle.
La décision de M. Obama "montre qu'il a commencé à prêter attention aux demandes du monde en développement pour un rô le accru au sein de cette institution globale", poursuit l'agence gouvernementale.
"C'est en quelque sorte un progrès de la part de Washington de choisir un expert du développement, et non un politicien ou un banquier, pour diriger la Banque mondiale", estime encore Chine nouvelle.
"Mais le seul fait qu'une fois encore en plus de six décennies, un autre citoyen américain va diriger l'organisation vouée à réduire la pauvreté reste une déception pour beaucoup à travers le monde", poursuit l'agence.
La candidature de M. Kim, bien que "plus appropriée" que les précédentes, "reflète toujours la domination américaine sur la Banque mondiale", selon Chine nouvelle.
Le gouvernement chinois, de son cô té, n'avait pas rendu publique sa position samedi, au lendemain de la clô ture des dépô ts de candidatures pour succéder à l'Américain Robert Zoellick.
Les trois candidats sont l'Américain Jim Yong Kim, le Colombien José Antonio Ocampo et la Nigériane Ngozi Okonjo-Iweala.
"Il est encourageant que le président américain Barack Obama ait choisi Jim Yong Kim, président du Dartmouth College et ancien directeur du département SIDA/VIH de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), comme candidat américain qui va très probablement prendre les rênes de cette organisation internationale chargée du développement", selon Chine nouvelle.
La décision de M. Obama "montre qu'il a commencé à prêter attention aux demandes du monde en développement pour un rô le accru au sein de cette institution globale", poursuit l'agence gouvernementale.
"C'est en quelque sorte un progrès de la part de Washington de choisir un expert du développement, et non un politicien ou un banquier, pour diriger la Banque mondiale", estime encore Chine nouvelle.
"Mais le seul fait qu'une fois encore en plus de six décennies, un autre citoyen américain va diriger l'organisation vouée à réduire la pauvreté reste une déception pour beaucoup à travers le monde", poursuit l'agence.
La candidature de M. Kim, bien que "plus appropriée" que les précédentes, "reflète toujours la domination américaine sur la Banque mondiale", selon Chine nouvelle.
Le gouvernement chinois, de son cô té, n'avait pas rendu publique sa position samedi, au lendemain de la clô ture des dépô ts de candidatures pour succéder à l'Américain Robert Zoellick.
Les trois candidats sont l'Américain Jim Yong Kim, le Colombien José Antonio Ocampo et la Nigériane Ngozi Okonjo-Iweala.
