Medhi Ben Barka
Pour l'affaire Ben Barka, cet avis ne porte toutefois que sur une partie des dossiers saisis cet été lors de deux perquisitions au siège de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE).
Dans le dossier de l'attentat de Karachi, instruit pour son volet terroriste par le juge Marc Trévidic qui avait demandé la déclassification en mai, l'avis favorable porte sur "un document émanant de la DGSE du 1er septembre 2000", "onze documents émanant de la DGA", la Délégation générale de l'armement, et "un télégramme du 9 février 1998 de la mission française d'Islamabad".
Pour l'un des documents de la DGA, datant de 1994, l'avis favorable ne concerne toutefois que les deux premières pages.
L'attentat de Karachi (sud du Pakistan) le 8 mai 2002 avait fait 15 morts, dont onze salariés français de la direction des Constructions navales (DCN).
Après avoir privilégié la piste islamiste, l'enquête s'est orientée vers l'hypothèse de représailles pakistanaises, après l'arrêt des versements de commissions sur la vente de sous-marins, décidé par le président français Jacques Chirac après son élection en 1995.
Dans l'affaire Ben Barka, la commission consultative a émis un avis favorable pour une partie des 23 dossiers dont la déclassification avait été demandée par le juge Ramaël après des perquisitions à la DGSE cet été.
Et pour les scellés concernés, l'avis ne concerne qu'une partie des pages des documents.
Mehdi Ben Barka, opposant au roi Hassan II, a disparu le 29 octobre 1965 à Paris, lors d'une opération menée par les services marocains avec la complicité de policiers et de truands français. L'affaire n'a jamais été pleinement élucidée.
Dans le dossier de l'attentat de Karachi, instruit pour son volet terroriste par le juge Marc Trévidic qui avait demandé la déclassification en mai, l'avis favorable porte sur "un document émanant de la DGSE du 1er septembre 2000", "onze documents émanant de la DGA", la Délégation générale de l'armement, et "un télégramme du 9 février 1998 de la mission française d'Islamabad".
Pour l'un des documents de la DGA, datant de 1994, l'avis favorable ne concerne toutefois que les deux premières pages.
L'attentat de Karachi (sud du Pakistan) le 8 mai 2002 avait fait 15 morts, dont onze salariés français de la direction des Constructions navales (DCN).
Après avoir privilégié la piste islamiste, l'enquête s'est orientée vers l'hypothèse de représailles pakistanaises, après l'arrêt des versements de commissions sur la vente de sous-marins, décidé par le président français Jacques Chirac après son élection en 1995.
Dans l'affaire Ben Barka, la commission consultative a émis un avis favorable pour une partie des 23 dossiers dont la déclassification avait été demandée par le juge Ramaël après des perquisitions à la DGSE cet été.
Et pour les scellés concernés, l'avis ne concerne qu'une partie des pages des documents.
Mehdi Ben Barka, opposant au roi Hassan II, a disparu le 29 octobre 1965 à Paris, lors d'une opération menée par les services marocains avec la complicité de policiers et de truands français. L'affaire n'a jamais été pleinement élucidée.