Le titre Oracle gagnait 1,4% à 20,14 dollars en après-Bourse, après avoir clôturé à 19,87 dollars en séance sur le Nasdaq.
Le bénéfice par action, hors éléments exceptionnels, ressort à 46 cents pour le quatrième trimestre de son exercice, clos le 31 mai, supérieur au consensus d'analystes (44 cents), selon Reuters Estimates.
Les ventes de licences de nouveaux logiciels, très suivies par le marché, ont reculé de 13% à 2,7 milliards de dollars. Les analystes tablaient en moyenne sur un recul supérieur, de 18%.
Oracle avait prévenu en mars dernier que la récession et un dollar fort allaient peser sur son bénéfice.
Depuis cette date, l'économie s'est stabilisée et le billet vert a reculé, ce qui a permis à Oracle de dépasser des prévisions prudentes.
Oracle, dirigé par Larry Ellison, a précisé que sa marge opérationnelle ajustée était de 51%, en hausse de 2,4 points de pourcentage sur un an.
Le groupe, qui a notamment pour concurrents SAP, Salesforce.com et International Business Machines, a fait état d'un recul de 7% de son bénéfice net, à 1,9 milliard de dollars, soit 38 cents par titre, contre 2,0 milliards de dollars, ou 39 cents, un an auparavant.
Le bénéfice par action, hors éléments exceptionnels, ressort à 46 cents pour le quatrième trimestre de son exercice, clos le 31 mai, supérieur au consensus d'analystes (44 cents), selon Reuters Estimates.
Les ventes de licences de nouveaux logiciels, très suivies par le marché, ont reculé de 13% à 2,7 milliards de dollars. Les analystes tablaient en moyenne sur un recul supérieur, de 18%.
Oracle avait prévenu en mars dernier que la récession et un dollar fort allaient peser sur son bénéfice.
Depuis cette date, l'économie s'est stabilisée et le billet vert a reculé, ce qui a permis à Oracle de dépasser des prévisions prudentes.
Oracle, dirigé par Larry Ellison, a précisé que sa marge opérationnelle ajustée était de 51%, en hausse de 2,4 points de pourcentage sur un an.
Le groupe, qui a notamment pour concurrents SAP, Salesforce.com et International Business Machines, a fait état d'un recul de 7% de son bénéfice net, à 1,9 milliard de dollars, soit 38 cents par titre, contre 2,0 milliards de dollars, ou 39 cents, un an auparavant.