Johnson a déclaré que c’est la «machine de la mort» du président syrien, «ses bombes barils, et finalement, son combat pour sa survie politique personnelle» qui ont causé 400 000 morts dans le pays, d’après des chiffres de l’ONU.
Le ministre a ajouté que «même» la Russie a accepté la nécessité d’une transition du pouvoir politique en Syrie.
Les déclarations de Johnson ont été publiées dans la colonne du journal The Times, avant la réunion, mercredi, du Haut Comité des négociations (HCN) qui représente les groupes de l’opposition en Syrie.
Le chef de la diplomatie britannique a également déclaré: «des personnes ayant une expérience directe dans la gestion de la Syrie mais qui ont complètement rejeté l’Etat policer d’al-Assad vont se réunir à Londres. Ils veulent créer un nouveau pays dans lequel un système de freins et de contrepoids existera au sein du gouvernement et dans lequel les droits des femmes et des minorités seront respectés».
Johnson a estimé que l’idée d’une transition politique en Syrie est si largement soutenue que «même les Russes l’ont accepté».
Le ministre a ajouté que «même» la Russie a accepté la nécessité d’une transition du pouvoir politique en Syrie.
Les déclarations de Johnson ont été publiées dans la colonne du journal The Times, avant la réunion, mercredi, du Haut Comité des négociations (HCN) qui représente les groupes de l’opposition en Syrie.
Le chef de la diplomatie britannique a également déclaré: «des personnes ayant une expérience directe dans la gestion de la Syrie mais qui ont complètement rejeté l’Etat policer d’al-Assad vont se réunir à Londres. Ils veulent créer un nouveau pays dans lequel un système de freins et de contrepoids existera au sein du gouvernement et dans lequel les droits des femmes et des minorités seront respectés».
Johnson a estimé que l’idée d’une transition politique en Syrie est si largement soutenue que «même les Russes l’ont accepté».