Jean-Louis Borloo
Evoquant d'abord le "bateau du futur", "on souhaite des bateaux plus propres, plus sobres, plus économes et plus intelligents", a déclaré M. Borloo sur LCI.
"On souhaite une grande filière professionnelle française de niveau mondial de démantèlement propre des navires, c'est vital", a-t-il également souligné à propos des "cimetières marins" de bateaux, citant l'exemple du porte-avion Clémenceau.
Enfin, "on va développer trois sites pilotes et un grand centre mondial des énergies marines", a ajouté le ministre de l'Ecologie, citant "la puissance de la mer, la puissance de la houles, les énergies marines en général, les chocs thermiques". "C'est tout ça qui va être la grande stratégie marine de la France".
"Il y a un certain nombre de choses qui s'autofinancent", a assuré M. Borloo. "Quand vous faites du démantèlement, vous créez une filière professionnelle qui par elle-même a vocation à être rentable. Quand vous investissez sur le bateau du futur, c'est pour économiser et l'énergie et le coût des rejets en mer", a-t-il expliqué.
Quand au pêcheurs, "on va (...) leur proposer d'être des acteurs scientifiques pour ceux qui le souhaitent. On a besoin de faire plein de recherches sur la diversité, sur la salinité des mers, avec des capteurs, tout cela va être vu avec Bruno Le Maire (ministre de la Pêche, NDLR)", a conclu le ministre de l'Ecologie.
"On souhaite une grande filière professionnelle française de niveau mondial de démantèlement propre des navires, c'est vital", a-t-il également souligné à propos des "cimetières marins" de bateaux, citant l'exemple du porte-avion Clémenceau.
Enfin, "on va développer trois sites pilotes et un grand centre mondial des énergies marines", a ajouté le ministre de l'Ecologie, citant "la puissance de la mer, la puissance de la houles, les énergies marines en général, les chocs thermiques". "C'est tout ça qui va être la grande stratégie marine de la France".
"Il y a un certain nombre de choses qui s'autofinancent", a assuré M. Borloo. "Quand vous faites du démantèlement, vous créez une filière professionnelle qui par elle-même a vocation à être rentable. Quand vous investissez sur le bateau du futur, c'est pour économiser et l'énergie et le coût des rejets en mer", a-t-il expliqué.
Quand au pêcheurs, "on va (...) leur proposer d'être des acteurs scientifiques pour ceux qui le souhaitent. On a besoin de faire plein de recherches sur la diversité, sur la salinité des mers, avec des capteurs, tout cela va être vu avec Bruno Le Maire (ministre de la Pêche, NDLR)", a conclu le ministre de l'Ecologie.