Dilma Rousseff
"Maintenant, un tireur d'élite pourrait venir et tirer dans la tête de Dilma, cette maudite!", "Terroristes, dernier appel pour tirer sur Dilma" ou "n'y a-t-il pas quelqu'un de courageux pour tirer sur Dilma aujourd'hui": ce sont quelques-uns des messages postés au moment où elle se rendait en voiture découverte à son investiture à Brasilia.
Dilma Rousseff, 63 ans, est la première femme présidente du Brésil. Elle a succédé samedi à Luiz Inacio Lula da Silva.
Le député du Parti des Travailleurs (gauche) au pouvoir, "Doctor" Rosinha, a rassemblé des dizaines de messages sur Twitter et les a remis au ministère public en début de semaine.
"Les messages ont été postés sur Twitter samedi, au moment où se déroulaient les cérémonies d'investiture. Il disaient qu'il serait bien que survienne un tireur d'élite comme dans le cas de John Kennedy", le président américain assassiné en 1963 à Dallas, a dit à l'AFP un collaborateur du député.
La Police Fédérale attendait les conclusions de la justice avant d'ouvrir une enquête formelle, a indiqué à l'AFP un porte-parole.
"Ce n'est pas encore clair s'il s'agit de menaces ou seulement de l'expression d'un souhait qu'elle soit tuée. Cela constituerait une apologie de crime", a dit le porte-parole.
Dilma Rousseff, 63 ans, est la première femme présidente du Brésil. Elle a succédé samedi à Luiz Inacio Lula da Silva.
Le député du Parti des Travailleurs (gauche) au pouvoir, "Doctor" Rosinha, a rassemblé des dizaines de messages sur Twitter et les a remis au ministère public en début de semaine.
"Les messages ont été postés sur Twitter samedi, au moment où se déroulaient les cérémonies d'investiture. Il disaient qu'il serait bien que survienne un tireur d'élite comme dans le cas de John Kennedy", le président américain assassiné en 1963 à Dallas, a dit à l'AFP un collaborateur du député.
La Police Fédérale attendait les conclusions de la justice avant d'ouvrir une enquête formelle, a indiqué à l'AFP un porte-parole.
"Ce n'est pas encore clair s'il s'agit de menaces ou seulement de l'expression d'un souhait qu'elle soit tuée. Cela constituerait une apologie de crime", a dit le porte-parole.