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"Cette mission déclare que l'accusation contre un diplomate iranien est exclusivement un malentendu dû aux différences de comportements culturels", a indiqué sans autres précisions l'ambassade dans un communiqué envoyé à l'AFP.
Le diplomate en question a été accusé d'avoir caressé les fillettes dans la piscine d'un club de Brasilia le week-end dernier, a rapporté la presse locale.
Les parents ont porté plainte au commissariat et après avoir été interrogé, le diplomate iranien a été libéré en raison de la Convention de Vienne qui protège les diplomates.
Un diplomate ne peut ni être détenu, ni jugé dans le pays dans le cadre de cette convention, a rappelé le ministère brésilien des Affaires étrangères.
Jeudi, le ministère a reçu le rapport de la police et a entendu aussi le récit de la mère d'une des fillettes, à la demande de cette dernière.
"Nous analysons le cas et ce que nous devons faire", a indiqué à l'AFP le service de presse du ministère qui a précisé que "l'ambassade d'Iran sera mise au courant" des conclusions de l'enquête.
D'après le site G1 de Globo, le père de l'une des fillettes a dit que le diplomate aurait pu se faire lyncher en raison de l'indignation des familles présentes dans le club.
"On voulait le tuer. Si le club n'avait pas mis son personnel de sécurité (pour le protéger), on me rechercherait aujourd'hui pour parler d'homicide ou de lynchage", a dit le père d'une des fillettes sous couvert de l'anonymat.
Le diplomate en question a été accusé d'avoir caressé les fillettes dans la piscine d'un club de Brasilia le week-end dernier, a rapporté la presse locale.
Les parents ont porté plainte au commissariat et après avoir été interrogé, le diplomate iranien a été libéré en raison de la Convention de Vienne qui protège les diplomates.
Un diplomate ne peut ni être détenu, ni jugé dans le pays dans le cadre de cette convention, a rappelé le ministère brésilien des Affaires étrangères.
Jeudi, le ministère a reçu le rapport de la police et a entendu aussi le récit de la mère d'une des fillettes, à la demande de cette dernière.
"Nous analysons le cas et ce que nous devons faire", a indiqué à l'AFP le service de presse du ministère qui a précisé que "l'ambassade d'Iran sera mise au courant" des conclusions de l'enquête.
D'après le site G1 de Globo, le père de l'une des fillettes a dit que le diplomate aurait pu se faire lyncher en raison de l'indignation des familles présentes dans le club.
"On voulait le tuer. Si le club n'avait pas mis son personnel de sécurité (pour le protéger), on me rechercherait aujourd'hui pour parler d'homicide ou de lynchage", a dit le père d'une des fillettes sous couvert de l'anonymat.
