“Le temps presse” et “on ne négociera pas directement au Conseil européen mi-octobre”, a dit cette source, rappelant les “30 jours” évoqués fin août par Emmanuel Macron pour trouver un accord sur le Brexit.
Ce délai de fin septembre, qui avait été pour la première fois fixé par la chancelière allemande Angela Merkel fin août, a également été repris par le Premier ministre finlandais Antti Rinne mercredi à l’issue de son entretien avec le chef de l’Etat français à l’Elysée.
Si le Royaume-Uni ne présente pas “d’ici la fin du mois” d’alternative au projet d’accord de divorce existant sur le Brexit mais rejeté à trois reprises par le parlement britannique, “alors ce sera terminé”, a-t-il déclaré selon des propos rapportés par l’agence de presse finlandaise STT.
Selon deux hauts diplomates européens, cette date butoir du 30 septembre n’est toutefois pas intangible et n’est pas le fruit d’un accord officiel entre les 27 pays membres.
“Le 30 n’est pas une date qui a été discutée et acceptée par les 27”, a dit l’un des diplomates à Reuters. “Mais ce ne sont pas des problèmes faciles à résoudre. Si vous voulez préparer de manière convenable le sommet (du 17 et 18 octobre-NDLR), le délai du 30 septembre est déjà très court.”
Initialement fixée au 29 mars 2019, la date de retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne - retrait approuvé par une majorité de Britanniques lors d’un référendum organisé en juin 2016 - a été reportée au 31 octobre prochain.
A un mois et demi de l’échéance, la conclusion d’un accord entre l’UE et Londres achoppe toujours sur l’opposition des parlementaires britanniques au “backstop”, cette clause de sauvegarde censée éviter le rétablissement de contrôles le long des 500 kilomètres de frontière entre l’Irlande et la province britannique d’Irlande du Nord.
Lundi, le Premier ministre britannique Boris Johnson a estimé après un entretien avec le président sortant de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, qu’un accord se dessinait mais que ce n’était toutefois pas encore “dans la poche”.
Une source à la présidence française a de son côté indiqué mardi que l’UE attendait toujours des “propositions britanniques précises”, estimant ne pas être mesure de dire à ce stade si un accord sur le Brexit pourrait être trouvé dans le délai imparti.
Ce délai de fin septembre, qui avait été pour la première fois fixé par la chancelière allemande Angela Merkel fin août, a également été repris par le Premier ministre finlandais Antti Rinne mercredi à l’issue de son entretien avec le chef de l’Etat français à l’Elysée.
Si le Royaume-Uni ne présente pas “d’ici la fin du mois” d’alternative au projet d’accord de divorce existant sur le Brexit mais rejeté à trois reprises par le parlement britannique, “alors ce sera terminé”, a-t-il déclaré selon des propos rapportés par l’agence de presse finlandaise STT.
Selon deux hauts diplomates européens, cette date butoir du 30 septembre n’est toutefois pas intangible et n’est pas le fruit d’un accord officiel entre les 27 pays membres.
“Le 30 n’est pas une date qui a été discutée et acceptée par les 27”, a dit l’un des diplomates à Reuters. “Mais ce ne sont pas des problèmes faciles à résoudre. Si vous voulez préparer de manière convenable le sommet (du 17 et 18 octobre-NDLR), le délai du 30 septembre est déjà très court.”
Initialement fixée au 29 mars 2019, la date de retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne - retrait approuvé par une majorité de Britanniques lors d’un référendum organisé en juin 2016 - a été reportée au 31 octobre prochain.
A un mois et demi de l’échéance, la conclusion d’un accord entre l’UE et Londres achoppe toujours sur l’opposition des parlementaires britanniques au “backstop”, cette clause de sauvegarde censée éviter le rétablissement de contrôles le long des 500 kilomètres de frontière entre l’Irlande et la province britannique d’Irlande du Nord.
Lundi, le Premier ministre britannique Boris Johnson a estimé après un entretien avec le président sortant de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, qu’un accord se dessinait mais que ce n’était toutefois pas encore “dans la poche”.
Une source à la présidence française a de son côté indiqué mardi que l’UE attendait toujours des “propositions britanniques précises”, estimant ne pas être mesure de dire à ce stade si un accord sur le Brexit pourrait être trouvé dans le délai imparti.