"Cette décision arrive à un moment assez étonnant et malheureux, suite à l'accord conclu sur un programme d'ajustement macro-économique entre la Grèce, la Commission, la BCE et le FMI", a observé M. Rehn devant le Parlement européen à Strasbourg.
"Les mesures adoptées par le gouvernement grec traduisent bien son engagement à réformer son système statistique, à stabiliser ses finances publiques et restaurer une croissance économique durable à long terme", a ajouté le commissaire.
La décision de Moody's "ne correspond pas du tout au rendement des obligations grecques et aux différentes conséquences négatives qui sont considérablement réduites depuis l'adoption de ce programme", a encore déclaré le commissaire.
L'agence de notation Moody's a abaissé lundi la note de la Grèce de quatre crans, de "A3" à "Ba1", la reléguant à son tour dans la catégorie spéculative pour un risque de non-remboursement de sa dette publique, mais Athènes a jugé cette sanction sans fondement.
"Les mesures adoptées par le gouvernement grec traduisent bien son engagement à réformer son système statistique, à stabiliser ses finances publiques et restaurer une croissance économique durable à long terme", a ajouté le commissaire.
La décision de Moody's "ne correspond pas du tout au rendement des obligations grecques et aux différentes conséquences négatives qui sont considérablement réduites depuis l'adoption de ce programme", a encore déclaré le commissaire.
L'agence de notation Moody's a abaissé lundi la note de la Grèce de quatre crans, de "A3" à "Ba1", la reléguant à son tour dans la catégorie spéculative pour un risque de non-remboursement de sa dette publique, mais Athènes a jugé cette sanction sans fondement.