Déjà sept fois vainqueurs de la CAN, les Pharaons effectuent ainsi leur grand retour après avoir manqué les trois dernières éditions du tournoi.
"On aura la huitième victoire", s'enthousiasme déjà Chehab Alaa, 25 ans, après avoir regardé le match dans un café du centre du Caire.
Autour de lui, dans le quartier de classe moyenne d'Agouza, des centaines de téléspectateurs laissent exploser leur joie après la qualification de l'Egypte devant le Burkina Faso 4 tirs au but à 3, les deux pays n'ayant pas pu se départager à l'issue de la prolongation (1-1).
Alors que les klaxons retentissent dans les rues alentours, certains ont sorti leur drapeau égyptien et scandent "Egypte, Egypte, Egypte", tandis que d'autres prennent un selfie pour garder un souvenir de la soirée.
"Je suis grave heureux", lance Islam Nasser, 29 ans.
"Je sentais que le match allait nous échapper, mais grâce à Dieu on a gagné, poursuit le jeune journaliste. En Egypte, on avait besoin de quelque chose pour nous rendre heureux, au vu de la situation économique, maintenant il y a une vraie énergie positive chez les gens."
Sur plusieurs grandes artères du centre de la capitale, les automobilistes klaxonnaient tout en brandissant par la fenêtre leur drapeau national.
Et avec le premier but de la soirée marqué par l'Egypte, les centaines de téléspectateurs fumant le narguilé ou sirotant leur thé ont bondi de leur chaise, applaudissant et se prenant dans les bras.
"C'est beau, c'est beau", hurlaient certains, extatiques, contemplant les cinq écrans installés sur la chaussée.
"On a réussi notre retour parmi les pays africains, l'Egypte a retrouvé sa place de leader du continent", s'exclame fièrement Mohamed Abdel Salam, ingénieur de 46 ans.
"Bien sûr qu'on est heureux, on a besoin de quelque chose qui nous rende heureux, pour nous faire oublier les problèmes et les fatigues du quotidien", renchérit son ami, Mahmoud al-Gibali, 37 ans, en référence à la situation économique difficile du pays.
"90 millions d'Egyptiens attendaient qu'on remporte ce match", s'enthousiasme Ahmed Yassin, 34 ans. "Les prolongations leur ont demandé beaucoup d'efforts, mais ils ont bien joué", poursuit ce jeune acrobate.
Dans la banlieue du 6 Octobre, à l'ouest du Caire, des milliers de supporteurs s'étaient réunis sur une place centrale pour regarder le match, a constaté un correspondant de l'AFP.
"Lève la tête haut, tu es Egyptien", "Vive l'Egypte", ont scandé les téléspectateurs après la victoire.
"On aura la huitième victoire", s'enthousiasme déjà Chehab Alaa, 25 ans, après avoir regardé le match dans un café du centre du Caire.
Autour de lui, dans le quartier de classe moyenne d'Agouza, des centaines de téléspectateurs laissent exploser leur joie après la qualification de l'Egypte devant le Burkina Faso 4 tirs au but à 3, les deux pays n'ayant pas pu se départager à l'issue de la prolongation (1-1).
Alors que les klaxons retentissent dans les rues alentours, certains ont sorti leur drapeau égyptien et scandent "Egypte, Egypte, Egypte", tandis que d'autres prennent un selfie pour garder un souvenir de la soirée.
"Je suis grave heureux", lance Islam Nasser, 29 ans.
"Je sentais que le match allait nous échapper, mais grâce à Dieu on a gagné, poursuit le jeune journaliste. En Egypte, on avait besoin de quelque chose pour nous rendre heureux, au vu de la situation économique, maintenant il y a une vraie énergie positive chez les gens."
Sur plusieurs grandes artères du centre de la capitale, les automobilistes klaxonnaient tout en brandissant par la fenêtre leur drapeau national.
Et avec le premier but de la soirée marqué par l'Egypte, les centaines de téléspectateurs fumant le narguilé ou sirotant leur thé ont bondi de leur chaise, applaudissant et se prenant dans les bras.
"C'est beau, c'est beau", hurlaient certains, extatiques, contemplant les cinq écrans installés sur la chaussée.
"On a réussi notre retour parmi les pays africains, l'Egypte a retrouvé sa place de leader du continent", s'exclame fièrement Mohamed Abdel Salam, ingénieur de 46 ans.
"Bien sûr qu'on est heureux, on a besoin de quelque chose qui nous rende heureux, pour nous faire oublier les problèmes et les fatigues du quotidien", renchérit son ami, Mahmoud al-Gibali, 37 ans, en référence à la situation économique difficile du pays.
"90 millions d'Egyptiens attendaient qu'on remporte ce match", s'enthousiasme Ahmed Yassin, 34 ans. "Les prolongations leur ont demandé beaucoup d'efforts, mais ils ont bien joué", poursuit ce jeune acrobate.
Dans la banlieue du 6 Octobre, à l'ouest du Caire, des milliers de supporteurs s'étaient réunis sur une place centrale pour regarder le match, a constaté un correspondant de l'AFP.
"Lève la tête haut, tu es Egyptien", "Vive l'Egypte", ont scandé les téléspectateurs après la victoire.