
Les policiers ont découvert ces ours lors d'une descente effectuée fin juillet près de Christina Lake, dans la province de Colombie-Britannique (ouest).
Les policiers pensent que les deux producteurs de marijuana, arrêtés lors de l'intervention, utilisaient de la nourriture pour chiens afin d'attirer les ours sur leur propriété et ainsi éloigner les voleurs, a dit à l'AFP le sergent Fred Mansveld, de la Gendarmerie royale du Canada (police fédérale).
Si les ours ne peuvent plus se nourrir eux-mêmes dans la nature, ils pourraient devenir dangereux pour les humains, affirment les policiers et les agents de protection de la faune. Ils risquent donc d'être tués pour des questions de sécurité.
Mardi, plus de 3.200 personnes avaient signé deux pétitions sur internet demandant au gouvernement de la Colombie-Britannique d'envoyer les ours dans une région éloignée ou de les placer dans un sanctuaire pour animaux.
"Le monde nous regarde!", écrit Maria Burns, l'une des 2.000 personnes qui ont joint la page Facebook "Help Save the BC Black Bears" (aidez à sauver les ours noirs de Colombie-Britannique). "Mes parents en Écosse suivent cette affaire via la radio et la télé nationale. Ils espèrent que tout se terminera bien pour les ours", ajoute-t-elle.
La famille de l'acteur canado-américain Jason Priestley a pour sa part donné 1.250 dollars pour créer un fonds pour venir en aide aux ours.
"Sauver ces ours, c'est l'objectif à court terme. À long terme, nous voulons sensibiliser la population", a dit à l'AFP le père de l'acteur, Lorne Priestley, qui vit dans la région de Vancouver. "Nous pensons simplement que les ours ne doivent pas être punis pour quelque chose que des gens leur ont fait."
Les 14 ours sont maintenant sous surveillance par les autorités provinciales qui observent si les bêtes sont capables de se nourrir seules.
Au cours des trois dernières années, 1.264 ours noirs ont été abattus en Colombie-Britannique à la suite de contacts avec des humains.
Les policiers pensent que les deux producteurs de marijuana, arrêtés lors de l'intervention, utilisaient de la nourriture pour chiens afin d'attirer les ours sur leur propriété et ainsi éloigner les voleurs, a dit à l'AFP le sergent Fred Mansveld, de la Gendarmerie royale du Canada (police fédérale).
Si les ours ne peuvent plus se nourrir eux-mêmes dans la nature, ils pourraient devenir dangereux pour les humains, affirment les policiers et les agents de protection de la faune. Ils risquent donc d'être tués pour des questions de sécurité.
Mardi, plus de 3.200 personnes avaient signé deux pétitions sur internet demandant au gouvernement de la Colombie-Britannique d'envoyer les ours dans une région éloignée ou de les placer dans un sanctuaire pour animaux.
"Le monde nous regarde!", écrit Maria Burns, l'une des 2.000 personnes qui ont joint la page Facebook "Help Save the BC Black Bears" (aidez à sauver les ours noirs de Colombie-Britannique). "Mes parents en Écosse suivent cette affaire via la radio et la télé nationale. Ils espèrent que tout se terminera bien pour les ours", ajoute-t-elle.
La famille de l'acteur canado-américain Jason Priestley a pour sa part donné 1.250 dollars pour créer un fonds pour venir en aide aux ours.
"Sauver ces ours, c'est l'objectif à court terme. À long terme, nous voulons sensibiliser la population", a dit à l'AFP le père de l'acteur, Lorne Priestley, qui vit dans la région de Vancouver. "Nous pensons simplement que les ours ne doivent pas être punis pour quelque chose que des gens leur ont fait."
Les 14 ours sont maintenant sous surveillance par les autorités provinciales qui observent si les bêtes sont capables de se nourrir seules.
Au cours des trois dernières années, 1.264 ours noirs ont été abattus en Colombie-Britannique à la suite de contacts avec des humains.