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Tina Namiesniowski, présidente de l’Agence de la Santé publique du Canada (ASPC) a annoncé, vendredi, dans une lettre adressée à ses employés, son départ de la tête de l’instance fédérale, alors que le pays commence à faire face à la deuxième vague de la pandémie de la Covid-19.
« Nous avons tous travaillé sans relâche dans un environnement où la pression était forte et où notre travail était minutieusement surveillé », a écrit la responsable démissionnaire, avant de lâcher « Bien que nous soyons très résilients, aucun de nous n'est surhumain et je m'inclus dans cette catégorie ».
L’ASPC, poursuit la lettre, largement relayée par les médias locaux, « a besoin d’un nouveau leader, qui aura l'énergie et l'endurance nécessaires pour faire passer l'agence au niveau supérieur en ces temps de pandémie ».
Nommée en mai 2019 au poste duquel elle démissionne aujourd’hui, Namiesniowski avait occupé, auparavant, les fonctions de vice-présidente exécutive de l'Agence des services frontaliers du Canada et de sous-ministre adjointe à l’Agriculture et à la Sécurité publique.
La démission de la patronne de l’agence fédérale de la Santé publique intervient au moment où les critiques s’intensifient au sujet des carences des tests de dépistages et des longues files d’attente des patients, dans la majorité des provinces, particulièrement, dans celles qui connaissent une augmentation exponentielle du nombre des contaminations, en l’occurrence le Québec et l’Ontario.
Immédiatement après la démission de Namiesniowski¸ la ministre fédérale de la Santé, Patty Hdju, a réagi pour annoncer qu’une « nouvelle ou un nouveau président de l’ASPC sera nommé dans les prochains jours ».
L’ASPC est l’autorité fédérale responsable de la santé publique et de la gestion des pandémies et des catastrophes nationales ainsi que de contrôle des maladies infectieuses et chroniques.
Notons que la COVID-19 a fait, jusqu’à vendredi après-midi, 9.242 morts sur les 141 mille 732 contaminations confirmées.
« Nous avons tous travaillé sans relâche dans un environnement où la pression était forte et où notre travail était minutieusement surveillé », a écrit la responsable démissionnaire, avant de lâcher « Bien que nous soyons très résilients, aucun de nous n'est surhumain et je m'inclus dans cette catégorie ».
L’ASPC, poursuit la lettre, largement relayée par les médias locaux, « a besoin d’un nouveau leader, qui aura l'énergie et l'endurance nécessaires pour faire passer l'agence au niveau supérieur en ces temps de pandémie ».
Nommée en mai 2019 au poste duquel elle démissionne aujourd’hui, Namiesniowski avait occupé, auparavant, les fonctions de vice-présidente exécutive de l'Agence des services frontaliers du Canada et de sous-ministre adjointe à l’Agriculture et à la Sécurité publique.
La démission de la patronne de l’agence fédérale de la Santé publique intervient au moment où les critiques s’intensifient au sujet des carences des tests de dépistages et des longues files d’attente des patients, dans la majorité des provinces, particulièrement, dans celles qui connaissent une augmentation exponentielle du nombre des contaminations, en l’occurrence le Québec et l’Ontario.
Immédiatement après la démission de Namiesniowski¸ la ministre fédérale de la Santé, Patty Hdju, a réagi pour annoncer qu’une « nouvelle ou un nouveau président de l’ASPC sera nommé dans les prochains jours ».
L’ASPC est l’autorité fédérale responsable de la santé publique et de la gestion des pandémies et des catastrophes nationales ainsi que de contrôle des maladies infectieuses et chroniques.
Notons que la COVID-19 a fait, jusqu’à vendredi après-midi, 9.242 morts sur les 141 mille 732 contaminations confirmées.
