Pal Sarkozy
Parmi la cinquantaine de toiles exposées à l'espace Cardin, à deux pas de l'Elysée, un portrait de Carla Bruni, épouse de Nicolas Sarkozy, occupe l'espace central. Elle y est représentée jouant de la guitare et assise sur un piano. "Son cadeau de mariage", indique l'artiste à quelques journalistes la veille du vernissage.
Un portrait de Nicolas Sarkozy est en revanche absent de l'exposition. "Je le lui avais offert lors de son élection à la présidence de la République", commente son père, peu enclin à répondre aux questions concernant son fils, et qui assure que l'essentiel pour cette exposition ce ne sont pas les liens de filiation mais bien "la valeur réelle" de ses toiles.
"Toute la droite dit que c'est bien, toute la gauche que c'est nul...mais vous savez, il y a très peu de peintres connus de leur vivant, ce qui m'intéresse c'est l'avis du public", commente-t-il, précisant vendre ses oeuvres, des grands formats, entre 8.000 et 16.000 euros pièce.
Pal Sarkozy a réalisé tous ses tableaux avec le publicitaire Werner Hornung.
Chaque toile est un mélange hétéroclite de dessins, éléments photographiques et création numérique aux couleurs vives.
Parmi les thèmes, également très hétéroclites, la femme, dénudée, en porte-jaretelles et même voilée, occupe une place centrale, avec l'immigration, "qui m'intéresse beaucoup car c'est mon histoire", commente Pal Sarkozy. Il montre le dessin d'un zèbre "qui quitte ses rayures en arrivant sur le sol américain mais se fait tatouer et porte une casquette pour avancer dans l'intégration".
"Vous savez que les Russes nous ont envahis, nous les Hongrois, mon fils aurait pu devenir président de la Russie !", lance-t-il à des journalistes de la télévision russe venus l'interviewer, qui semblent pour le moins interloqués.
Un portrait de Nicolas Sarkozy est en revanche absent de l'exposition. "Je le lui avais offert lors de son élection à la présidence de la République", commente son père, peu enclin à répondre aux questions concernant son fils, et qui assure que l'essentiel pour cette exposition ce ne sont pas les liens de filiation mais bien "la valeur réelle" de ses toiles.
"Toute la droite dit que c'est bien, toute la gauche que c'est nul...mais vous savez, il y a très peu de peintres connus de leur vivant, ce qui m'intéresse c'est l'avis du public", commente-t-il, précisant vendre ses oeuvres, des grands formats, entre 8.000 et 16.000 euros pièce.
Pal Sarkozy a réalisé tous ses tableaux avec le publicitaire Werner Hornung.
Chaque toile est un mélange hétéroclite de dessins, éléments photographiques et création numérique aux couleurs vives.
Parmi les thèmes, également très hétéroclites, la femme, dénudée, en porte-jaretelles et même voilée, occupe une place centrale, avec l'immigration, "qui m'intéresse beaucoup car c'est mon histoire", commente Pal Sarkozy. Il montre le dessin d'un zèbre "qui quitte ses rayures en arrivant sur le sol américain mais se fait tatouer et porte une casquette pour avancer dans l'intégration".
"Vous savez que les Russes nous ont envahis, nous les Hongrois, mon fils aurait pu devenir président de la Russie !", lance-t-il à des journalistes de la télévision russe venus l'interviewer, qui semblent pour le moins interloqués.