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George Papandréou et Carolos Papoulias
Après l'annonce de sa reconduction, Papoulias a souligné "la grande responsabilité" d'assumer le rôle de président du pays dans une période critique pour l'économie grecque, et a demandé à "l'Etat et aux Grecs de s'engager de toutes nos forces pour surmonter la crise".
"Nous devons améliorer l'efficacité des institutions grecques. Un Etat juste, fort et efficace peut renverser la situation actuelle et ouvrir de meilleures voies pour la Grèce", a ajouté M. Papoulias, très ému.
"Nous devons tous nous engager dans cette transition historique et être unis. Je m'engage avec vous dans ce grand effort", a-t-il conclu.
Elu au premier tour de scrutin lors d'une session parlementaire extraordinaire par une forte majorité de 266 voix sur 298 votants, Papoulias a réuni les votes du parti socialiste au pouvoir (Pasok), ceux du parti de droite Nouvelle Démocratie (ND, opposition) et du Laos (extrême droite).
Les deux autres partis de gauche représentés au Parlement, le KKE (parti communiste grec) et le Syriza (gauche radicale), qui n'avaient pas présenté de candidat se sont abstenus. Deux députés sur les 300 que compte le parlement étaient absents et n'ont pas pris part au vote.
Papoulias prêtera serment le 12 mars, a annoncé à l'issue de la session le président du parlement, Philippos Petsalnikos.
Elu une première fois en février 2005 au poste du président de la République, sur proposition de la droite, au pouvoir à l'époque --et soutenu par les socialistes du Pasok, alors dans l'opposition--, M. Papoulias, 80 ans, est avant tout une personnalité consensuelle du monde politique grec, jouissant d'une grande popularité dans son pays.
Né à Ioanina en Epire (nord-ouest), Carolos Papoulias, est un cadre historique du Pasok, très proche de l'ancien Premier ministre Andréas Papandréou (décédé en 1996), le fondateur du Pasok et père de l'actuel Premier ministre Georges Papandréou.
Papoulias a été deux fois ministre des Affaires étrangères dans les gouvernements d'Andréas Papandréou dans les années 80 et 90. Il avait été député de 1977 à 2000.
"Nous devons améliorer l'efficacité des institutions grecques. Un Etat juste, fort et efficace peut renverser la situation actuelle et ouvrir de meilleures voies pour la Grèce", a ajouté M. Papoulias, très ému.
"Nous devons tous nous engager dans cette transition historique et être unis. Je m'engage avec vous dans ce grand effort", a-t-il conclu.
Elu au premier tour de scrutin lors d'une session parlementaire extraordinaire par une forte majorité de 266 voix sur 298 votants, Papoulias a réuni les votes du parti socialiste au pouvoir (Pasok), ceux du parti de droite Nouvelle Démocratie (ND, opposition) et du Laos (extrême droite).
Les deux autres partis de gauche représentés au Parlement, le KKE (parti communiste grec) et le Syriza (gauche radicale), qui n'avaient pas présenté de candidat se sont abstenus. Deux députés sur les 300 que compte le parlement étaient absents et n'ont pas pris part au vote.
Papoulias prêtera serment le 12 mars, a annoncé à l'issue de la session le président du parlement, Philippos Petsalnikos.
Elu une première fois en février 2005 au poste du président de la République, sur proposition de la droite, au pouvoir à l'époque --et soutenu par les socialistes du Pasok, alors dans l'opposition--, M. Papoulias, 80 ans, est avant tout une personnalité consensuelle du monde politique grec, jouissant d'une grande popularité dans son pays.
Né à Ioanina en Epire (nord-ouest), Carolos Papoulias, est un cadre historique du Pasok, très proche de l'ancien Premier ministre Andréas Papandréou (décédé en 1996), le fondateur du Pasok et père de l'actuel Premier ministre Georges Papandréou.
Papoulias a été deux fois ministre des Affaires étrangères dans les gouvernements d'Andréas Papandréou dans les années 80 et 90. Il avait été député de 1977 à 2000.
