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Cet ouvrage de 340 pages raconte Casablanca sous un angle artistique constituant ainsi ''une promenade émotionnelle'' dans cette ville et permettant de découvrir une métropole haute en couleurs à travers une série de rencontres avec celles et ceux qui ont accepté de confier leurs sentiments et leurs souvenirs, et de partager leur perplexité et leur relation à cette ''cité dure et accueillante'', a fait savoir à cette occasion, Mme. Sefrioui.
Il s’agit d’un recueil de témoignages de près de 115 artistes notamment des musiciens, des écrivains, des comédiens, des cinéastes, des danseurs, des performeurs, des photographes et des peintres, qui ont exprimé leur vision de la cité, a-t-elle ajouté, observant que ''l’objectif étant de donner lieu à des expressions intimistes et personnelles''.
Paru aux édition Malika, ce livre, a-t-elle expliqué, représente une photo de famille et une image contrastée du monde artistique local qui permettra aux artistes de renouer des liens transdisciplinaires en vue de faire aboutir des projets culturelles communs.
Pour Cécile Treal, reporter photographe ayant participé à cette ouvrage, Casablanca avec ses quartiers populaires et son patrimoine culturel et architectural est une source d’inspiration qui amène le photographe ''à l’émotionnel et à retracer l’histoire de la cité à travers l’image, en offrant aussi l’occasion aux artistes de revivre des souvenirs d’enfance que chacun d’entre eux a vécu''.
Née en 1981 à Rabat, Leïla Slimani avait reçu le prix Goncourt 2016 pour son deuxième roman "Chanson douce". En 2014, elle publie son premier roman "Dans le jardin de l'ogre", paru aux éditions Gallimard .
Parmi ses œuvres figurent "La Baie de Dakhla : Itinérance enchantée entre mer et désert" (2013), "Le diable est dans les détails", éditions de l'Aube (2016) et "Paroles d'honneur", Les Arènes (2017).
Leïla Slimani avait reçu les insignes d'Officier des Arts et des Lettres des mains de l’ancienne ministre française de la Culture, Audrey Azoulay.
Journaliste culturelle, critique littéraire et éditrice, Kenza Sefrioui a, quant à elle, publié l’ouvrage "Le livre à l’épreuve, les failles de la chaîne au Maroc". Elle a codirigé ''Casablanca œuvre ouverte'', réédition augmentée de ''Casablanca, fragments d’imaginaire'' avec un deuxième tome, ''Casablanca poème urbain'' sur les écritures contemporaines à Casablanca.
Il s’agit d’un recueil de témoignages de près de 115 artistes notamment des musiciens, des écrivains, des comédiens, des cinéastes, des danseurs, des performeurs, des photographes et des peintres, qui ont exprimé leur vision de la cité, a-t-elle ajouté, observant que ''l’objectif étant de donner lieu à des expressions intimistes et personnelles''.
Paru aux édition Malika, ce livre, a-t-elle expliqué, représente une photo de famille et une image contrastée du monde artistique local qui permettra aux artistes de renouer des liens transdisciplinaires en vue de faire aboutir des projets culturelles communs.
Pour Cécile Treal, reporter photographe ayant participé à cette ouvrage, Casablanca avec ses quartiers populaires et son patrimoine culturel et architectural est une source d’inspiration qui amène le photographe ''à l’émotionnel et à retracer l’histoire de la cité à travers l’image, en offrant aussi l’occasion aux artistes de revivre des souvenirs d’enfance que chacun d’entre eux a vécu''.
Née en 1981 à Rabat, Leïla Slimani avait reçu le prix Goncourt 2016 pour son deuxième roman "Chanson douce". En 2014, elle publie son premier roman "Dans le jardin de l'ogre", paru aux éditions Gallimard .
Parmi ses œuvres figurent "La Baie de Dakhla : Itinérance enchantée entre mer et désert" (2013), "Le diable est dans les détails", éditions de l'Aube (2016) et "Paroles d'honneur", Les Arènes (2017).
Leïla Slimani avait reçu les insignes d'Officier des Arts et des Lettres des mains de l’ancienne ministre française de la Culture, Audrey Azoulay.
Journaliste culturelle, critique littéraire et éditrice, Kenza Sefrioui a, quant à elle, publié l’ouvrage "Le livre à l’épreuve, les failles de la chaîne au Maroc". Elle a codirigé ''Casablanca œuvre ouverte'', réédition augmentée de ''Casablanca, fragments d’imaginaire'' avec un deuxième tome, ''Casablanca poème urbain'' sur les écritures contemporaines à Casablanca.
