Ces pluies bénéficieront également aux grandes cultures, pâturages, forêts et arbres fruitiers.
En effet, les pluies du mois d’avril sont bonnes pour les céréales qui pourront compléter leur croissance naturelle et former leurs épis, augurant ainsi une amélioration de la récolte.
Le climat pluvieux permet de préserver une température basse qui empêche la prolifération des maladies fongiques dans les cultures céréalières.
Ces dernières pluies ne manqueront pas d’avoir l’impact requis sur la croissance des cultures fourragères et de renforcer les réserves des pâturages naturels, avec pour corollaire la réduction du coût de l’alimentation animale et l’amélioration du rendement des activités d’élevage (production laitière, accroissement du cheptel).
Ces précipitations devraient avoir un effet bénéfique sur le rendement et la qualité de l’arboriculture, en particulier les oliveraies, l’agrumiculture et les palmeraies.
Elles vont également alimenter les nappes phréatiques et de surface et accroître leurs capacités de reconstitution des stocks, de manière à répondre au mieux aux besoins d’irrigation des cultures maraichères.
Ces pluies vont en outre faciliter l’augmentation des quantités d’eau retenues dans les barrages.
Ces quantités supplémentaires ont atteint 1 milliard 862 millions de mètres cubes, chiffre qui aura tendance à augmenter après les dernières précipitations.
En effet, les pluies du mois d’avril sont bonnes pour les céréales qui pourront compléter leur croissance naturelle et former leurs épis, augurant ainsi une amélioration de la récolte.
Le climat pluvieux permet de préserver une température basse qui empêche la prolifération des maladies fongiques dans les cultures céréalières.
Ces dernières pluies ne manqueront pas d’avoir l’impact requis sur la croissance des cultures fourragères et de renforcer les réserves des pâturages naturels, avec pour corollaire la réduction du coût de l’alimentation animale et l’amélioration du rendement des activités d’élevage (production laitière, accroissement du cheptel).
Ces précipitations devraient avoir un effet bénéfique sur le rendement et la qualité de l’arboriculture, en particulier les oliveraies, l’agrumiculture et les palmeraies.
Elles vont également alimenter les nappes phréatiques et de surface et accroître leurs capacités de reconstitution des stocks, de manière à répondre au mieux aux besoins d’irrigation des cultures maraichères.
Ces pluies vont en outre faciliter l’augmentation des quantités d’eau retenues dans les barrages.
Ces quantités supplémentaires ont atteint 1 milliard 862 millions de mètres cubes, chiffre qui aura tendance à augmenter après les dernières précipitations.