"Les experts iraniens pourraient aisément faire face à cette catastrophe et régler le problème du Japon", a affirmé Mahmoud Reza Aghamiri, représentant de l'Iran au sein du projet de recherche nucléaire international Sesame.
"L'Iran est l'un des pays qui peut, dans les circonstances actuelles, aider le Japon à faire face aux dommages de Fukushima", a insisté M. Aghamiri en estimant que Téhéran avait "peut-être des capacités techniques plus importantes que le Japon" en matière nucléaire, dans la mesure où Tokyo était dépendant de technologies américaines.
Le Japon lutte pour éviter un désastre nucléaire depuis que 4 des 6 réacteurs de la centrale nucléaire Fukushima (nord-est du Japon) ont été endommagés le 11 mars après un tsunami déclenché par un séisme de magnitude 9, le plus puissant jamais enregistré dans le pays.
L'Iran ne possède qu'une centrale nucléaire à Bouchehr (sud), dont la construction par la Russie a été retardée par de nombreux problèmes depuis 15 ans, et qui n'a toujours pas été mise en service.
Sesame est un projet d'accélérateur de particules basé en Jordanie et regroupant plusieurs pays du Moyen-Orient, dont l'Iran et Israël. Le prédécesseur de M. Aghamiri à la tête de la représentation iranienne au Sesame, Massoud Ali Mohammadi, a été assassiné en janvier 2010 à Téhéran.
"L'Iran est l'un des pays qui peut, dans les circonstances actuelles, aider le Japon à faire face aux dommages de Fukushima", a insisté M. Aghamiri en estimant que Téhéran avait "peut-être des capacités techniques plus importantes que le Japon" en matière nucléaire, dans la mesure où Tokyo était dépendant de technologies américaines.
Le Japon lutte pour éviter un désastre nucléaire depuis que 4 des 6 réacteurs de la centrale nucléaire Fukushima (nord-est du Japon) ont été endommagés le 11 mars après un tsunami déclenché par un séisme de magnitude 9, le plus puissant jamais enregistré dans le pays.
L'Iran ne possède qu'une centrale nucléaire à Bouchehr (sud), dont la construction par la Russie a été retardée par de nombreux problèmes depuis 15 ans, et qui n'a toujours pas été mise en service.
Sesame est un projet d'accélérateur de particules basé en Jordanie et regroupant plusieurs pays du Moyen-Orient, dont l'Iran et Israël. Le prédécesseur de M. Aghamiri à la tête de la représentation iranienne au Sesame, Massoud Ali Mohammadi, a été assassiné en janvier 2010 à Téhéran.