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Catherine Ashton
"L'Iran sera en haut du programme" des discussions que Mme Ashton doit avoir à Pékin avec les dirigeants chinois, a dit ce diplomate s'exprimant sous couvert de l'anonymat.
Mme Ashton, qui doit également se rendre à Shanghai, devrait notamment s'entretenir avec le président chinois Hu Jintao, le Premier ministre Wen Jiabao et le ministre des Affaires étrangères Yan Jiechi.
Elle arrivera à Pékin jeudi à l'issue d'un sommet UE-Japon à Tokyo.
Téhéran est soupçonné par Washington et ses alliés de vouloir développer une bombe atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.
L'UE et les Etats-Unis cherchent à imposer des sanctions à Téhéran pour que l'Iran renonce à son programme nucléaire mais se heurtent à l'opposition de la Chine, un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU dotés du droit de veto.
Si la Chine s'est dite disposée à discuter des "nouvelles idées" sur la table pour régler la question du programme nucléaire iranien, elle a jusqu'ici dit continuer à privilégier le dialogue.
Le vice-président des Etats-Unis Joe Biden a cependant affirmé jeudi que la Chine "va accepter des sanctions" économiques contre l'Iran.
Selon le diplomate européen, "le mieux qu'on puisse attendre (des Chinois) est sans doute qu'ils s'abstiennent" au Conseil de sécurité et ne posent pas leur veto.
Mme Ashton sera accompagnée en Chine par le président de la Commission européenne José Manuel Barroso et par le président de l'Union, Herman Van Rompuy.
Mme Ashton, qui doit également se rendre à Shanghai, devrait notamment s'entretenir avec le président chinois Hu Jintao, le Premier ministre Wen Jiabao et le ministre des Affaires étrangères Yan Jiechi.
Elle arrivera à Pékin jeudi à l'issue d'un sommet UE-Japon à Tokyo.
Téhéran est soupçonné par Washington et ses alliés de vouloir développer une bombe atomique sous couvert d'un programme nucléaire civil, ce que Téhéran dément.
L'UE et les Etats-Unis cherchent à imposer des sanctions à Téhéran pour que l'Iran renonce à son programme nucléaire mais se heurtent à l'opposition de la Chine, un des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU dotés du droit de veto.
Si la Chine s'est dite disposée à discuter des "nouvelles idées" sur la table pour régler la question du programme nucléaire iranien, elle a jusqu'ici dit continuer à privilégier le dialogue.
Le vice-président des Etats-Unis Joe Biden a cependant affirmé jeudi que la Chine "va accepter des sanctions" économiques contre l'Iran.
Selon le diplomate européen, "le mieux qu'on puisse attendre (des Chinois) est sans doute qu'ils s'abstiennent" au Conseil de sécurité et ne posent pas leur veto.
Mme Ashton sera accompagnée en Chine par le président de la Commission européenne José Manuel Barroso et par le président de l'Union, Herman Van Rompuy.
