
L'alerte britannique étant intervenue trop tard, ces carcasses arrivées en janvier "avaient été transformées", a indiqué un porte-parole à l'AFP samedi. Les produits concernés qui pouvaient encore être retirés l'ont été mais certains avaient déjà été probablement consommés, a-t-il ajouté en soulignant que le "risque" était "mineur pour la santé".