Aucun particulier ou organisation ne sera plus autorisé à diffuser en ligne cette centaine de titres, qui "font l'apologie de l'obscénité, de la violence, du crime et contreviennent à la moralité publique", a martelé le ministère chinois de la Culture.
La liste disparate publiée lundi contient très majoritairement des morceaux écrits et produits par des chanteurs ou des groupes inconnus.
Parmi ces titres évocateurs "tombant sous le coup de la loi", on trouve encore "Miaulements" (mot à connotation érotique) ou "Journal d'un suicide".
Cette liste "offre des cibles spécifiques pour l'autocensure des firmes du web", les sites étant censés supprimer eux mêmes les contenus incriminés, a précisé le ministère.
Et d'ajouter que ceux qui ne se plieraient pas à la consigne "seraient sanctionnés sévèrement, conformément à la loi".
L'internet chinois est soumis à un vaste système de censure et de contrôle, qualifié de "grande muraille électronique" (Great Firewall). Pékin oblige les réseaux sociaux, plateformes et sites à expurger soigneusement les contenus jugés sensibles.
Les autorités ont par ailleurs lancé ces derniers mois plusieurs offensives contre les sites et comptes de réseaux sociaux à teneur licencieuse ou pornographique.
La liste disparate publiée lundi contient très majoritairement des morceaux écrits et produits par des chanteurs ou des groupes inconnus.
Parmi ces titres évocateurs "tombant sous le coup de la loi", on trouve encore "Miaulements" (mot à connotation érotique) ou "Journal d'un suicide".
Cette liste "offre des cibles spécifiques pour l'autocensure des firmes du web", les sites étant censés supprimer eux mêmes les contenus incriminés, a précisé le ministère.
Et d'ajouter que ceux qui ne se plieraient pas à la consigne "seraient sanctionnés sévèrement, conformément à la loi".
L'internet chinois est soumis à un vaste système de censure et de contrôle, qualifié de "grande muraille électronique" (Great Firewall). Pékin oblige les réseaux sociaux, plateformes et sites à expurger soigneusement les contenus jugés sensibles.
Les autorités ont par ailleurs lancé ces derniers mois plusieurs offensives contre les sites et comptes de réseaux sociaux à teneur licencieuse ou pornographique.