Cette décision a été prise mardi soir, lors d'une réunion à Rome des représentants des dirigeants du MEF, le Forum des économies majeures, dont le sommet est prévu jeudi à L'Aquila.
"Il y a un très fort engagement (de leur part) à réduire de façon substantielle les émissions mondiales d'ici 2050, mais il n'y a pas de 50%", a précisé ce responsable à l'AFP.
En revanche, l'objectif d'une limite de réchauffement à +2° est maintenue, a indiqué un négociateur occidental.
Dans un précédent projet de déclaration, le MEF "soutenait l'objectif de réduire les émissions mondiales de 50% d'ici 2050", sans toutefois préciser l'année de référence par rapport à laquelle cette division devait s'opérer.
Le MEF rassemble les principales économies de la planète, les huit pays les plus industrialisés du G8 et les grands émergents comme la Chine, l'Inde, la Corée du sud ou le Brésil.
"Il y a un très fort engagement (de leur part) à réduire de façon substantielle les émissions mondiales d'ici 2050, mais il n'y a pas de 50%", a précisé ce responsable à l'AFP.
En revanche, l'objectif d'une limite de réchauffement à +2° est maintenue, a indiqué un négociateur occidental.
Dans un précédent projet de déclaration, le MEF "soutenait l'objectif de réduire les émissions mondiales de 50% d'ici 2050", sans toutefois préciser l'année de référence par rapport à laquelle cette division devait s'opérer.
Le MEF rassemble les principales économies de la planète, les huit pays les plus industrialisés du G8 et les grands émergents comme la Chine, l'Inde, la Corée du sud ou le Brésil.