Brigitte Bardot
"L'exposition Brigitte Bardot qui se déroule actuellement à Saint-Tropez se terminera comme prévu le 31 octobre. Cela mettra un terme définitif au partenariat entre Brigitte et la société Akouna", a précisé M. d'Ormale qui évoque un conflit sur les produits dérivés.
"On ne peut pas laisser faire n'importe quoi avec l'image de Brigitte Bardot, comme des porte-clés ou des magnets. Il y a une exploitation choquante", a-t-il ajouté, en annonçant qu'un nouveau prestataire a été désigné "pour toute exposition, tout événement et tout autre mode d'exploitation dans le monde entier de la personnalité de Mlle Bardot".
Contacté par l'AFP, le gérant de la société Akouna, Tristan Duval, créateur et producteur de l'exposition Bardot, "s'étonne de cette décision dans la mesure où Mlle Bardot a signé des accords descriptifs pour chaque produit dérivé".
"C'est navrant qu'une belle aventure se termine comme cela. Personne ne croyait au succès de cette exposition au début. Cette exposition nous appartient et un contrat de quinze années nous permet de la présenter, notamment en Belgique l'an prochain, puis au Japon et au Brésil", a ajouté M. Duval, "déterminé à défendre (ses) intérêts devant les tribunaux".
"On ne peut pas laisser faire n'importe quoi avec l'image de Brigitte Bardot, comme des porte-clés ou des magnets. Il y a une exploitation choquante", a-t-il ajouté, en annonçant qu'un nouveau prestataire a été désigné "pour toute exposition, tout événement et tout autre mode d'exploitation dans le monde entier de la personnalité de Mlle Bardot".
Contacté par l'AFP, le gérant de la société Akouna, Tristan Duval, créateur et producteur de l'exposition Bardot, "s'étonne de cette décision dans la mesure où Mlle Bardot a signé des accords descriptifs pour chaque produit dérivé".
"C'est navrant qu'une belle aventure se termine comme cela. Personne ne croyait au succès de cette exposition au début. Cette exposition nous appartient et un contrat de quinze années nous permet de la présenter, notamment en Belgique l'an prochain, puis au Japon et au Brésil", a ajouté M. Duval, "déterminé à défendre (ses) intérêts devant les tribunaux".