Lynn Pascoe et Kim Yong Nam
Le secrétaire général adjoint chargé des affaires politiques aux Nations unies, qui bouclait une visite de quatre jours au Nord, était interrogé par l'agence officielle à son départ de l'aéroport de Pyongyang pour Pékin.
Chine nouvelle n'a pas donné plus de précisions, mais une conférence de presse est prévue vendredi soir dans la capitale chinoise.
Ancien ambassadeur américain, Lynn Pascoe est le responsable de l'ONU au rang le plus élevé à se rendre en Corée du Nord depuis 2004.
Les efforts diplomatiques s'intensifient depuis plusieurs semaines pour convaincre le régime stalinien de renouer les négociations à Six sur son programme de dénucléarisation, entamées en août 2003 et impliquant les deux Corées, la Chine, le Japon, les Etats-Unis et la Russie.
La visite de M. Pascoe était officiellement consacrée au renforcement de la coopération entre la Corée du Nord et les Nations unies, mais ne devait pas manquer d'aborder le volet nucléaire.
M. Pascoe avait rencontré jeudi le numéro 2 nord-coréen, Kim Yong-nam, à qui il avait remis un message et un présent de la part du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon.
Son déplacement coïncidait avec celui, à Pékin, du négociateur en chef de la Corée du Nord sur le dossier nucléaire Kim Kye-gwan.
M. Kim s'est entretenu avec des responsables chinois du dossier nucléaire, selon le ministère chinois des Affaires étrangères.
Autre signe d'une effervescence diplomatique, Kim Kye-gwan, envisagerait de se rendre aux Etats-Unis le mois prochain. Selon une source diplomatique citéee par l'agence de presse sud-coréenne Yonhap, la visite serait en réponse à celle effectuée en décembre à Pyongyang par l'émissaire américain Stephen Bosworth.
"Je crois que le programme pour la visite de Kim a déjà été déterminé", a indiqué cette source à Yonhap.
Enfin, l'agence affirme que le négociateur chinois sur le nucléaire nord-coréen, Wu Dawei, débutera une tournée auprès de ses homologues après le nouvel an lunaire chinois ce week-end.
Pékin est l'hôte de ces discussions et un proche allié du régime stalinien même si son influence réelle sur Pyongyang est mise en doute par les experts depuis les deux essais nucléaires nord-coréens de 2006 et 2009.
La communauté internationale tente de ramener la Corée du Nord à la table des négociations dont Pyongyang s'était retiré en avril dernier après un tir de missile controversé sanctionné par le Conseil de sécurité de l'ONU. Il a procédé dans la foulée à son deuxième essai nucléaire depuis celui de 2006.
Le régime communiste fait de la signature d'un traité de paix avec les Etats-Unis le préalable à une reprise des négociations.
Chine nouvelle n'a pas donné plus de précisions, mais une conférence de presse est prévue vendredi soir dans la capitale chinoise.
Ancien ambassadeur américain, Lynn Pascoe est le responsable de l'ONU au rang le plus élevé à se rendre en Corée du Nord depuis 2004.
Les efforts diplomatiques s'intensifient depuis plusieurs semaines pour convaincre le régime stalinien de renouer les négociations à Six sur son programme de dénucléarisation, entamées en août 2003 et impliquant les deux Corées, la Chine, le Japon, les Etats-Unis et la Russie.
La visite de M. Pascoe était officiellement consacrée au renforcement de la coopération entre la Corée du Nord et les Nations unies, mais ne devait pas manquer d'aborder le volet nucléaire.
M. Pascoe avait rencontré jeudi le numéro 2 nord-coréen, Kim Yong-nam, à qui il avait remis un message et un présent de la part du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon.
Son déplacement coïncidait avec celui, à Pékin, du négociateur en chef de la Corée du Nord sur le dossier nucléaire Kim Kye-gwan.
M. Kim s'est entretenu avec des responsables chinois du dossier nucléaire, selon le ministère chinois des Affaires étrangères.
Autre signe d'une effervescence diplomatique, Kim Kye-gwan, envisagerait de se rendre aux Etats-Unis le mois prochain. Selon une source diplomatique citéee par l'agence de presse sud-coréenne Yonhap, la visite serait en réponse à celle effectuée en décembre à Pyongyang par l'émissaire américain Stephen Bosworth.
"Je crois que le programme pour la visite de Kim a déjà été déterminé", a indiqué cette source à Yonhap.
Enfin, l'agence affirme que le négociateur chinois sur le nucléaire nord-coréen, Wu Dawei, débutera une tournée auprès de ses homologues après le nouvel an lunaire chinois ce week-end.
Pékin est l'hôte de ces discussions et un proche allié du régime stalinien même si son influence réelle sur Pyongyang est mise en doute par les experts depuis les deux essais nucléaires nord-coréens de 2006 et 2009.
La communauté internationale tente de ramener la Corée du Nord à la table des négociations dont Pyongyang s'était retiré en avril dernier après un tir de missile controversé sanctionné par le Conseil de sécurité de l'ONU. Il a procédé dans la foulée à son deuxième essai nucléaire depuis celui de 2006.
Le régime communiste fait de la signature d'un traité de paix avec les Etats-Unis le préalable à une reprise des négociations.