Dans un message publié sur le site internet de l’organisation internationale, Kristalina Georgieva précise qu’une vingtaine de pays se sont déjà dits intéressés par des programmes d’aide, des demandes qui pourraient déboucher dans les prochains jours. Elle n’a identifié aucun de ces pays.
Le FMI est prêt à mobiliser sa capacité de prêts, qui avoisine 1.000 milliards de dollars (900 milliards d’euros), pour aider ses 189 pays membres, ajoute-t-elle.
“Avec la propagation du virus, les arguments en faveur d’un soutien budgétaire global coordonné et synchronisé se renforcent d’heure en heure”, écrit Kristalina Georgieva.
Elle laisse entendre qu’une initiative budgétaire d’une ampleur comparable à celle mise en oeuvre lors de la crise financière de 2008-2009 pourrait être nécessaire.
Rappelant que sur la seule année 2009, le G20, qui regroupe les 20 principales économies du monde, avait consacré à des mesures de relance jusqu’à 2% de son produit intérieur brut (PIB), soit l’équivalent de 900 milliards de dollars aujourd’hui, elle souligne qu’”il faut faire beaucoup plus”.
Concernant les politiques monétaires, la directrice générale du FMI estime que les banques centrales “doivent continuer de soutenir la demande et de renforcer la confiance en assouplissant les conditions de financement et en assurant l’afflux du crédit dans l’économie réelle”.
“Lors de périodes de crise comme la période actuelle, des interventions sur les changes et des mesures de gestion des flux de capitaux peuvent constituer un complément utile à des changements de taux d’intérêt et à d’autres mesures de politique monétaire”, poursuit-elle.
Kristalina Georgieva incite aussi les autorités de supervision financière à préserver la stabilité et la santé du système bancaire tout en soutenant l’activité économique.
Les banques, ajoute-t-elle, doivent être encouragées à utiliser leurs fonds propres et leurs coussins de liquidités ainsi qu’à accorder aux emprunteurs en difficulté de nouvelles conditions de remboursement.
Le FMI a déjà annoncé depuis le début du mois qu’il mettrait environ 50 milliards de dollars à la disposition des pays en développement et émergents.
Le FMI est prêt à mobiliser sa capacité de prêts, qui avoisine 1.000 milliards de dollars (900 milliards d’euros), pour aider ses 189 pays membres, ajoute-t-elle.
“Avec la propagation du virus, les arguments en faveur d’un soutien budgétaire global coordonné et synchronisé se renforcent d’heure en heure”, écrit Kristalina Georgieva.
Elle laisse entendre qu’une initiative budgétaire d’une ampleur comparable à celle mise en oeuvre lors de la crise financière de 2008-2009 pourrait être nécessaire.
Rappelant que sur la seule année 2009, le G20, qui regroupe les 20 principales économies du monde, avait consacré à des mesures de relance jusqu’à 2% de son produit intérieur brut (PIB), soit l’équivalent de 900 milliards de dollars aujourd’hui, elle souligne qu’”il faut faire beaucoup plus”.
Concernant les politiques monétaires, la directrice générale du FMI estime que les banques centrales “doivent continuer de soutenir la demande et de renforcer la confiance en assouplissant les conditions de financement et en assurant l’afflux du crédit dans l’économie réelle”.
“Lors de périodes de crise comme la période actuelle, des interventions sur les changes et des mesures de gestion des flux de capitaux peuvent constituer un complément utile à des changements de taux d’intérêt et à d’autres mesures de politique monétaire”, poursuit-elle.
Kristalina Georgieva incite aussi les autorités de supervision financière à préserver la stabilité et la santé du système bancaire tout en soutenant l’activité économique.
Les banques, ajoute-t-elle, doivent être encouragées à utiliser leurs fonds propres et leurs coussins de liquidités ainsi qu’à accorder aux emprunteurs en difficulté de nouvelles conditions de remboursement.
Le FMI a déjà annoncé depuis le début du mois qu’il mettrait environ 50 milliards de dollars à la disposition des pays en développement et émergents.