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Ramaphosa, qui s’exprimait dans un discours télévisé, a fait savoir que son pays a recensé 3 décès liés à la pandémie.
Il a souligné que le pays entre « dans un territoire inconnu », se disant convaincu que l’Afrique du Sud réussira à prendre le dessus sur la pandémie.
Le chef d’Etat sud-africain n’a pas manqué de revenir, dans son discours, sur la décision, vendredi dernier, de l’agence Moody’s de rabaisser la notation de son pays au niveau spéculatif, soulignant que cette dégradation aura un impact négatif sur l’économie et augmentera le coût de la dette publique.
Il a, toutefois, souligné que ce développement ne diminuera pas la réponse de son pays à la pandémie du Coronavirus.
Dans ce contexte de crise, l’Afrique du Sud demeure déterminée à mettre en œuvre des réformes économiques structurelles pour faire face à l’affaiblissement de la croissance et redresser les entreprises publiques.
Moody’s, qui rejoint les deux autres agences Fitch et Standard & poor’s qui avaient relégué l’Afrique du Sud dans la catégorie spéculative en 2017, a estimé qu’elle ne s’attend pas que la politique actuellement mise en œuvre par le gouvernement dirigé par le Congrès National Africain (ANC), puisse redresser une situation marquée par une détérioration de la position fiscale du pays.
Plaçant aussi les perspectives d’avenir du pays sur une trajectoire négative, l’agence a relevé que sa décision traduit les risques qui guettent le pays avec un affaiblissement continu de la croissance de son Produit Intérieur Brut (PIB) avec une hausse débridée de l’endettement public.
L’impact de la décision de l’agence ne s’est pas fait attendre, la devise sud-africaine plongeant, à l’ouverture des opérations lundi à la bourse de Johannesburg, à son niveau le plus bas par rapport au dollar américaine. Le billet vert s’est échanger au taux record de plus de 18 rands. (MAP) AO
Il a souligné que le pays entre « dans un territoire inconnu », se disant convaincu que l’Afrique du Sud réussira à prendre le dessus sur la pandémie.
Le chef d’Etat sud-africain n’a pas manqué de revenir, dans son discours, sur la décision, vendredi dernier, de l’agence Moody’s de rabaisser la notation de son pays au niveau spéculatif, soulignant que cette dégradation aura un impact négatif sur l’économie et augmentera le coût de la dette publique.
Il a, toutefois, souligné que ce développement ne diminuera pas la réponse de son pays à la pandémie du Coronavirus.
Dans ce contexte de crise, l’Afrique du Sud demeure déterminée à mettre en œuvre des réformes économiques structurelles pour faire face à l’affaiblissement de la croissance et redresser les entreprises publiques.
Moody’s, qui rejoint les deux autres agences Fitch et Standard & poor’s qui avaient relégué l’Afrique du Sud dans la catégorie spéculative en 2017, a estimé qu’elle ne s’attend pas que la politique actuellement mise en œuvre par le gouvernement dirigé par le Congrès National Africain (ANC), puisse redresser une situation marquée par une détérioration de la position fiscale du pays.
Plaçant aussi les perspectives d’avenir du pays sur une trajectoire négative, l’agence a relevé que sa décision traduit les risques qui guettent le pays avec un affaiblissement continu de la croissance de son Produit Intérieur Brut (PIB) avec une hausse débridée de l’endettement public.
L’impact de la décision de l’agence ne s’est pas fait attendre, la devise sud-africaine plongeant, à l’ouverture des opérations lundi à la bourse de Johannesburg, à son niveau le plus bas par rapport au dollar américaine. Le billet vert s’est échanger au taux record de plus de 18 rands. (MAP) AO
