La directrice général du Fonds, Kristina Georgieva, "a déclaré que les pays affectés par (l'épidémie de Covid-19) seraient soutenus par l'intermédiaire de l'instrument de financement rapide" (IFR) de son organisation, écrit le ministre des Affaires étrangères iraniens Mohammad Javad Zarif sur Twitter.
"Notre banque centrale a demandé un accès immédiat à cette facilité", ajoute M. Zarif, dont le pays n'a pas reçu l'aide du FMI depuis un "crédit de confirmation" dont l'Iran a bénéficié entre 1960 et 1962, selon les données du Fonds.
"Le Conseil d'administration du FMI doit coller au mandat du Fonds, être du bon côté de l'histoire et agir de façon responsable", écrit encore M. Zarif.
Les différents prêts que peut accorder le FMI doivent être approuvés par le Conseil d'administration de l'institution, où, dans la pratique, aucune décision ne peut être prise contre la volonté des Etats-Unis.
Ceux-ci mènent actuellement une politique de "pression maximale" destinée à assécher les finances de l'Etat iranien, et le président américain Donald Trump n'a jusqu'à présent montré aucune volonté de l'infléchir.
Dans un message publié sur son compte Instagram et repris par l'agence officielle Irna, le gouverneur de la banque centrale iranienne, Abdolnasser Hemmati, affirme avoir demandé formellement, par lettre, le 6 mars, un accès à l'IFR.
"Compte tenu de la prévalence généralisée du coronavirus dans notre pays et de la nécessité de continuer à prendre des mesures fortes afin de prévenir et guérir (cette maladie) et pour faire face à ses impacts économiques", l'Iran demande une aide d'"environ 5 milliards de dollars (des Etats-Unis)" au FMI, écrit M. Hemmati sur son compte Instagram.
M. Hemmati n'a pas publié la copie de la lettre qu'il dit avoir adressée au Fonds.
Selon le site internet du Fonds, l'IFR "offre une assistance financière rapide à tous les pays membres qui ont un besoin urgent de balance des paiements".
"Notre banque centrale a demandé un accès immédiat à cette facilité", ajoute M. Zarif, dont le pays n'a pas reçu l'aide du FMI depuis un "crédit de confirmation" dont l'Iran a bénéficié entre 1960 et 1962, selon les données du Fonds.
"Le Conseil d'administration du FMI doit coller au mandat du Fonds, être du bon côté de l'histoire et agir de façon responsable", écrit encore M. Zarif.
Les différents prêts que peut accorder le FMI doivent être approuvés par le Conseil d'administration de l'institution, où, dans la pratique, aucune décision ne peut être prise contre la volonté des Etats-Unis.
Ceux-ci mènent actuellement une politique de "pression maximale" destinée à assécher les finances de l'Etat iranien, et le président américain Donald Trump n'a jusqu'à présent montré aucune volonté de l'infléchir.
Dans un message publié sur son compte Instagram et repris par l'agence officielle Irna, le gouverneur de la banque centrale iranienne, Abdolnasser Hemmati, affirme avoir demandé formellement, par lettre, le 6 mars, un accès à l'IFR.
"Compte tenu de la prévalence généralisée du coronavirus dans notre pays et de la nécessité de continuer à prendre des mesures fortes afin de prévenir et guérir (cette maladie) et pour faire face à ses impacts économiques", l'Iran demande une aide d'"environ 5 milliards de dollars (des Etats-Unis)" au FMI, écrit M. Hemmati sur son compte Instagram.
M. Hemmati n'a pas publié la copie de la lettre qu'il dit avoir adressée au Fonds.
Selon le site internet du Fonds, l'IFR "offre une assistance financière rapide à tous les pays membres qui ont un besoin urgent de balance des paiements".