"Le bilan de ce conflit à ce jour est de 7 personnes tuées, de 28 personnes blessées, deux cas de viols ont été enregistrés, 4 campements ont été incendiés et pillés", a déclaré le porte-parole du gouvernement Bruno Koné, à l’issue d’un conseil de ministres.
Le conflit aura également poussé 5.400 personnes à se déplacer, a ajouté le responsable ivoirien, précisant que "la majorité de ces personnes ont pu regagner un lieu d’habitation ou ont pu être hébergées par des voisins ou parents".
Seulelement 806 personnes se trouvent actuellement sur les sites de recasement", a-t-il noté.
"Au vu de l’ampleur de ce conflit et dans le but de ramener le calme dans la région, le conseil des ministres a instruit les ministres de l’Intérieur et de la Défense et l’ensemble des ministres concernés en vue de renforcer la présence militaire et humanitaire sur tous les sites de déplacés", a poursuivi Koné.
Un différend foncier oppose, depuis septembre, les communautés autochtones (wê), allogènes (baoulé) et étrangères (burkinabè). Les différents camps se disputent en effet le droit de cultiver des parcelles de terre dans la forêt de Goin Débé, dans l'Ouest ivoirien.
Le conflit aura également poussé 5.400 personnes à se déplacer, a ajouté le responsable ivoirien, précisant que "la majorité de ces personnes ont pu regagner un lieu d’habitation ou ont pu être hébergées par des voisins ou parents".
Seulelement 806 personnes se trouvent actuellement sur les sites de recasement", a-t-il noté.
"Au vu de l’ampleur de ce conflit et dans le but de ramener le calme dans la région, le conseil des ministres a instruit les ministres de l’Intérieur et de la Défense et l’ensemble des ministres concernés en vue de renforcer la présence militaire et humanitaire sur tous les sites de déplacés", a poursuivi Koné.
Un différend foncier oppose, depuis septembre, les communautés autochtones (wê), allogènes (baoulé) et étrangères (burkinabè). Les différents camps se disputent en effet le droit de cultiver des parcelles de terre dans la forêt de Goin Débé, dans l'Ouest ivoirien.