Notre-Dame de Paris
En raison de cet hommage, la président de la République a repoussé un entretien avec un ministre iranien. "Prévu initialement mercredi à 16h30", la rencontre avec Manoucher Mottaki, ministre des Affaires étrangères de la République islamique d'Iran est reporté à 17H30", précise le communiqué de l'Elysée.
En quoi consistera l'hommage ?
- La célébration sera dirigée par l'archevêque de Paris, Mgr Vingt-Trois, mais participeront également des représentants d'autres religions, comme Dalil Boubakeur, recteur de la grande mosquée de Paris. "A partir du moment où plusieurs religions seront là, la prière aura une valeur générale", explique-t-il au micro de RTL.
- Par ailleurs, la Grande Mosquée de Paris organisera à 14h une "prière rituelle dite de 'l'absent'", en mémoire des passagers de cet avion, en coordination avec le Conseil français du culte musulman (CFCM).
Et que deviennent les familles des victimes ?
Pour l'instant, elles sont prises en charge par des équipes de psychologues dans un hôtel voisin de l'aéroport de Roissy.
"Elles sont effondrées, dans l'angoisse de savoir ce qui s'est passé. Toutes ont encore un espoir, aussi mince soit-il, de retrouver des survivants. Et ce petit soupçon, c'est une torture", explique Guillaume Denoix de Saint-Marc, porte-parole d'une association de victimes, sur LCI.fr.
En quoi consistera l'hommage ?
- La célébration sera dirigée par l'archevêque de Paris, Mgr Vingt-Trois, mais participeront également des représentants d'autres religions, comme Dalil Boubakeur, recteur de la grande mosquée de Paris. "A partir du moment où plusieurs religions seront là, la prière aura une valeur générale", explique-t-il au micro de RTL.
- Par ailleurs, la Grande Mosquée de Paris organisera à 14h une "prière rituelle dite de 'l'absent'", en mémoire des passagers de cet avion, en coordination avec le Conseil français du culte musulman (CFCM).
Et que deviennent les familles des victimes ?
Pour l'instant, elles sont prises en charge par des équipes de psychologues dans un hôtel voisin de l'aéroport de Roissy.
"Elles sont effondrées, dans l'angoisse de savoir ce qui s'est passé. Toutes ont encore un espoir, aussi mince soit-il, de retrouver des survivants. Et ce petit soupçon, c'est une torture", explique Guillaume Denoix de Saint-Marc, porte-parole d'une association de victimes, sur LCI.fr.