La branche égyptienne du groupe Etat islamique (EI) avait revendiqué l'attentat le jour même, assurant plus tard avoir placé une petite bombe à l'intérieur de l'appareil, mais Le Caire avait jusqu'alors répété que les causes du crash n'étaient pas connues.
"Qui que ce soit qui a abattu cet avion, que cherchait-il ? Seulement frapper le tourisme (en Egypte)? Non, frapper nos relations avec la Russie", a dit le président Sissi devant un auditoire de responsables gouvernementaux et économiques lors d'une conférence sur le développement de l'Egypte reprises par les télévisions.
Dix jours après le crash, Moscou, par la voix du président Vladimir Poutine en personne, avait annoncé que ses enquêteurs sur place avaient conclu qu'il s'agissait bien d'un attentat, et interdit jusqu'à nouvel ordre tout vol entre la Russie et l'Egypte. La Grande-Bretagne avait interdit tous ses vols à destination de la station balnéaire de Charm el-Cheikh, d'où avait décollé l'avion russe, et, tout comme Moscou, fait immédiatement rapatrier tous ses ressortissants sur place.
Le tourisme, déjà profondément affecté par une vague d'attentats en Egypte, est désormais quasiment au point mort. Londres n'a pas repris à ce jour ses vols sur Charm el-Cheikh, ni Moscou à destination de toute l'Egypte.
"Qui que ce soit qui a abattu cet avion, que cherchait-il ? Seulement frapper le tourisme (en Egypte)? Non, frapper nos relations avec la Russie", a dit le président Sissi devant un auditoire de responsables gouvernementaux et économiques lors d'une conférence sur le développement de l'Egypte reprises par les télévisions.
Dix jours après le crash, Moscou, par la voix du président Vladimir Poutine en personne, avait annoncé que ses enquêteurs sur place avaient conclu qu'il s'agissait bien d'un attentat, et interdit jusqu'à nouvel ordre tout vol entre la Russie et l'Egypte. La Grande-Bretagne avait interdit tous ses vols à destination de la station balnéaire de Charm el-Cheikh, d'où avait décollé l'avion russe, et, tout comme Moscou, fait immédiatement rapatrier tous ses ressortissants sur place.
Le tourisme, déjà profondément affecté par une vague d'attentats en Egypte, est désormais quasiment au point mort. Londres n'a pas repris à ce jour ses vols sur Charm el-Cheikh, ni Moscou à destination de toute l'Egypte.