Cette mesure, qui a pris effet mardi, a été prise pour réduire la différence de prix entre l'essence au Bélarus et dans les Etats voisins, indique Belneftekhim dans un communiqué.
Le pays avait déjà augmenté le prix de l'essence le 24 mai, entre 16 et 20%.
Le Bélarus est confronté à sa plus grave crise depuis l'arrivée au pouvoir d'Alexandre Loukachenko il y a près de 17 ans. Cette république ex-soviétique à l'économie dirigiste souffre d'un déficit commercial abyssal et d'une pénurie de devises.
Dans ce contexte, elle a été contrainte de dévaluer de 36% le rouble bélarusse fin mai.
Le pays tire d'importantes recettes du raffinage sur son sol et de la revente à l'étranger de pétrole russe, que la Russie lui fournissait auparavant à des tarifs préférentiels. Mais Moscou cherche désormais à augmenter le prix des hydrocarbures qu'elle vend à ce pays.
Minsk a décroché samedi un crédit de trois milliards de dollars sur trois ans auprès de partenaires de l'ex-URSS dont la Russie, et s'est aussi adressé au Fonds monétaire international (FMI) pour demander un prêt allant jusqu'à 8 milliards de dollars.
Le pays avait déjà augmenté le prix de l'essence le 24 mai, entre 16 et 20%.
Le Bélarus est confronté à sa plus grave crise depuis l'arrivée au pouvoir d'Alexandre Loukachenko il y a près de 17 ans. Cette république ex-soviétique à l'économie dirigiste souffre d'un déficit commercial abyssal et d'une pénurie de devises.
Dans ce contexte, elle a été contrainte de dévaluer de 36% le rouble bélarusse fin mai.
Le pays tire d'importantes recettes du raffinage sur son sol et de la revente à l'étranger de pétrole russe, que la Russie lui fournissait auparavant à des tarifs préférentiels. Mais Moscou cherche désormais à augmenter le prix des hydrocarbures qu'elle vend à ce pays.
Minsk a décroché samedi un crédit de trois milliards de dollars sur trois ans auprès de partenaires de l'ex-URSS dont la Russie, et s'est aussi adressé au Fonds monétaire international (FMI) pour demander un prêt allant jusqu'à 8 milliards de dollars.