L'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, Bahreïn et l'Egypte, qui ont rompu le 5 juin leurs relations avec le Qatar lui imposant une série de sanctions, ont ajouté mardi 18 groupes et individus qualifiés de "terroristes" à une première liste noire publiée en juin et répertoriant des entités accusées de liens avec l'émirat gazier.
Cette liste compte désormais près de 90 noms. L'Arabie et ses alliés accusent le Qatar de soutenir des groupes extrémistes et de se rapprocher de l'Iran chiite, grand rival de Ryad, chef de file de l'islam sunnite.
"C'est une surprise décevante de voir que les pays auteurs du blocus continuent avec cette histoire, dans le cadre de leur campagne de dénigrement du Qatar", a déclaré le chef des services de communication du gouvernement, cheikh Saïf ben Ahmed Al-Thani, dans un email à l'AFP.
"Alors que le Qatar a fait d'importantes démarches pour renforcer son engagement à combattre le terrorisme, les pays auteurs du blocus n'ont rien fait et préfèrent concentrer leurs efforts sur une campagne de propagande visant à priver le Qatar de sa souveraineté", a-t-il estimé.
Cheikh Saïf a notamment rappelé que Doha avait il y a deux semaines annoncé un renforcement de sa législation antiterroriste, mesure que Ryad et ses alliés ont estimé "insuffisante".
Le gouvernement qatari, qui affirme que la première liste avait été "largement rejetée par la communauté internationale", estime que "cette dernière liste en date fournit de nouvelles preuves que les pays auteurs du blocus ne sont pas investis dans le combat contre le terrorisme".
"Tous les individus liés au terrorisme au Qatar ont été poursuivis", assure le gouvernement qatari qui "encourage" Ryad et ses alliés "à passer moins de temps à établir ces listes fabriquées et plus de temps à mettre en place des mesures pour combattre la menace de l'extrémisme dans leurs propres pays".
Cette liste compte désormais près de 90 noms. L'Arabie et ses alliés accusent le Qatar de soutenir des groupes extrémistes et de se rapprocher de l'Iran chiite, grand rival de Ryad, chef de file de l'islam sunnite.
"C'est une surprise décevante de voir que les pays auteurs du blocus continuent avec cette histoire, dans le cadre de leur campagne de dénigrement du Qatar", a déclaré le chef des services de communication du gouvernement, cheikh Saïf ben Ahmed Al-Thani, dans un email à l'AFP.
"Alors que le Qatar a fait d'importantes démarches pour renforcer son engagement à combattre le terrorisme, les pays auteurs du blocus n'ont rien fait et préfèrent concentrer leurs efforts sur une campagne de propagande visant à priver le Qatar de sa souveraineté", a-t-il estimé.
Cheikh Saïf a notamment rappelé que Doha avait il y a deux semaines annoncé un renforcement de sa législation antiterroriste, mesure que Ryad et ses alliés ont estimé "insuffisante".
Le gouvernement qatari, qui affirme que la première liste avait été "largement rejetée par la communauté internationale", estime que "cette dernière liste en date fournit de nouvelles preuves que les pays auteurs du blocus ne sont pas investis dans le combat contre le terrorisme".
"Tous les individus liés au terrorisme au Qatar ont été poursuivis", assure le gouvernement qatari qui "encourage" Ryad et ses alliés "à passer moins de temps à établir ces listes fabriquées et plus de temps à mettre en place des mesures pour combattre la menace de l'extrémisme dans leurs propres pays".