Plus que le résultat sportif de cette épreuve de six jours, c'est le comportement de l'ancien champion, mythe du cyclisme moderne, qui focalise toutes les attentions.
Ces derniers jours, la presse australienne et mondiale s'est bousculée autour du revenant de 37 ans, oubliant presque les vrais favoris de cette épreuve, dont les vedettes australienne Stuart O'Grady, Michael Rogers et Robbie McEwen.
Armstrong a pourtant prévenu, il n'a aucune idée précise de sa capacité actuelle à jouer les premiers rôles. "Mon grand objectif, dit-il, c'est juste de revenir dans le cyclisme, mais s'il y a une chance à prendre, je la prendrai. Je ne vais ni bluffer ni me cacher. Si ça se passe bien, j'attaquerai".
Armstrong affirme être revenu dans l'équipe Astana gratuitement, dans le but ultime de donner une résonance mondiale à sa campagne de lutte contre le cancer. Lui-même avait vaincu un cancer des testicules dans les années 90, avant ses victoires dans le Tour de France.
Dimanche, il a participé, en hors d'oeuvre, à un critérium de 51 km à Adélaïde, qu'il a terminé en 64e position. "Il y avait beaucoup d'anxiété aujourd'hui mais c'était bien pour un premier jour", a-t-il dit à l'arrivée: "J'ai pris du plaisir, honnêtement".
O'Grady, interrogé sur la présence d'Armstrong dans la course, préfère ne pas sous-estimer le danger: "C'est un énorme athlète, l'un des athlètes les plus doués de tous les temps... c'est un sport difficile et il n'est sûrement pas revenu juste pour faire une balade", dit-il.
Souvent soupçonné de dopage mais jamais contrôlé positif, Armstrong s'est volontairement soumis depuis plusieurs mois à un programme rigoureux de détection, sous l'égide de Don Catlin, un expert américain reconnu de la lutte antidopage.
Cette année, les organisateurs du Tour Down Under ont durci le parcours, qui souriait plutôt aux purs sprinteurs les années précédentes. La côte la plus dure de l'épreuve, la "Willunga Hill", sera franchie deux fois au lieu d'une auparavant, au cours de la cinquième et avant-dernière étape.
Ces derniers jours, la presse australienne et mondiale s'est bousculée autour du revenant de 37 ans, oubliant presque les vrais favoris de cette épreuve, dont les vedettes australienne Stuart O'Grady, Michael Rogers et Robbie McEwen.
Armstrong a pourtant prévenu, il n'a aucune idée précise de sa capacité actuelle à jouer les premiers rôles. "Mon grand objectif, dit-il, c'est juste de revenir dans le cyclisme, mais s'il y a une chance à prendre, je la prendrai. Je ne vais ni bluffer ni me cacher. Si ça se passe bien, j'attaquerai".
Armstrong affirme être revenu dans l'équipe Astana gratuitement, dans le but ultime de donner une résonance mondiale à sa campagne de lutte contre le cancer. Lui-même avait vaincu un cancer des testicules dans les années 90, avant ses victoires dans le Tour de France.
Dimanche, il a participé, en hors d'oeuvre, à un critérium de 51 km à Adélaïde, qu'il a terminé en 64e position. "Il y avait beaucoup d'anxiété aujourd'hui mais c'était bien pour un premier jour", a-t-il dit à l'arrivée: "J'ai pris du plaisir, honnêtement".
O'Grady, interrogé sur la présence d'Armstrong dans la course, préfère ne pas sous-estimer le danger: "C'est un énorme athlète, l'un des athlètes les plus doués de tous les temps... c'est un sport difficile et il n'est sûrement pas revenu juste pour faire une balade", dit-il.
Souvent soupçonné de dopage mais jamais contrôlé positif, Armstrong s'est volontairement soumis depuis plusieurs mois à un programme rigoureux de détection, sous l'égide de Don Catlin, un expert américain reconnu de la lutte antidopage.
Cette année, les organisateurs du Tour Down Under ont durci le parcours, qui souriait plutôt aux purs sprinteurs les années précédentes. La côte la plus dure de l'épreuve, la "Willunga Hill", sera franchie deux fois au lieu d'une auparavant, au cours de la cinquième et avant-dernière étape.