De fortes pluies ont endommagé les pistes que devaient emprunter les camions, qui rejoindront Valparaiso, sur les bords de l'océan Pacifique, par la route.
La 6e étape avait été neutralisée jeudi, alors que de nombreux camions se trouvaient encore bloqués dans des cordons dunaires en soirée.
Les spéciales autos et motos ont été maintenues mais raccourcies, avec un kilométrage ramené de 419 à 244 km.
Le Sud-Africain Giniel De Villiers (Wolkswagen) occupe la première place du classement général chez les autos, comme l'Espagnol Marc Coma (ESP) chez les motos.
Après l'exclusion jeudi du Qatarien Nasser Al Attiyah, leader de l'épreuve autos et meilleur temps du jour, et dans une atmosphère marquée par la polémique naissante à la suite du décès du motard Pascal Terry, dont les circonstances pourraient engager la responsabilité d'ASO (Amaury Sport Organisation), la septième étape du rallye Dakar entre Mendoza et Valparaiso vendredi marque le passage de l'Argentine au Chili, avec au bout de l'étape une journée de repos très attendue par tous.
Ouf ! C'est certainement le souffle qui résonnera le plus dans le bivouac de Valparaiso en soirée.
Les concurrents en auront en effet fini avec trois étapes terriblement éprouvante, obligeant les organisateurs à neutraliser la course mercredi et jeudi.
Et la spéciale du jour, prévue d'une longueur de 419 km pour un total de 625 pour l'étape, propose le même type de terrain: des dunes et du fesh-fesh (le guadal local), qui rappellera à beaucoup le Sahara. Ensuite, ce sera l'entrée dans la mythique Cordillère des Andes, avec des passages -les seuls de ce rallye- à plus de 3000 m.
Au loin, ils apercevront même l'Aconcagua, point culminant du continent américain (6.959 m).
L'étape s'achèvera sur la plage de Valparaiso, ville jalonnée de funiculaires pour accéder au sommet de la falaise qui surplombe l'Océan Pacifique, comme Salvador de Bahia au Brésil.
Deuxième ville du pays, Valparaiso est le lieu de villégiature préféré des Chiliens et notamment des habitants de Santiago.
Ensuite, ce sera une journée de repos bien méritée pour tout le monde.
Car jeudi, selon les résultats officieux des autopsies révélés par le chef du département des opérations de la police de La Pampa (centre-sud), Julio Acosta, la caravane a appris que le motard Terry serait décédé d'un "oedème pulmonaire" et qu'il "aurait pu être sauvé s'il avait été secouru à temps".
Officiellement, la direction de course n'a aucune information sur les résultats de l'enquête et de l'autopsie pratiquée par les autorités argentines sur Terry, disparu dimanche mais dont le corps a été retrouvé mercredi matin.
Côté course, le fait du jour est évidemment l'exclusion d'Al Attiyah et de sa copilote suédoise Tina Thorner, à l'issue d'une spéciale raccourcie à 178 km en raison des terribles conditions de la veille et d'un gué rendu infranchissable par la pluie.
Nasser Al Attiyah, vainqueur des étapes N.1 et N.3 sur sa BMW, a été exclu pour avoir manqué 9 points de passage obligatoire.
Le Qatarien a été victime d'un problème de radiateur et a préféré éviter le terrible cordon de dunes qui se présentait à lui.
Du coup, le Sud-Africain Giniel De Villiers fait coup double. Il est déclaré vainqueur de l'étape et devient leader au classement général.
Il devance l'Espagnol Carlos Sainz et l'Américain Mark Miller pour un triplé Volkswagen.
Comme BMW, Mitsubishi a perdu un élément, avec l'abandon de Luc Alphand après un malaise de son co-pilote Gilles Picard.
Au 12e km, Alphand et Picard étaient coincés dans la boue. En voulant dégager la voiture, Picard s'est senti mal. Par précaution, Alphand a préféré appeler l'hélico pour un contrôle. Et Picard a été évacué vers le bivouac de San Rafael, où son état a été jugé bon.
En moto, Cyril Despres a souri. Enfin ! Après tous ses déboires depuis Buenos Aires, le double vainqueur (2005 et 2007) a obtenu sa première victoire d'étape.
La 6e étape avait été neutralisée jeudi, alors que de nombreux camions se trouvaient encore bloqués dans des cordons dunaires en soirée.
Les spéciales autos et motos ont été maintenues mais raccourcies, avec un kilométrage ramené de 419 à 244 km.
Le Sud-Africain Giniel De Villiers (Wolkswagen) occupe la première place du classement général chez les autos, comme l'Espagnol Marc Coma (ESP) chez les motos.
Après l'exclusion jeudi du Qatarien Nasser Al Attiyah, leader de l'épreuve autos et meilleur temps du jour, et dans une atmosphère marquée par la polémique naissante à la suite du décès du motard Pascal Terry, dont les circonstances pourraient engager la responsabilité d'ASO (Amaury Sport Organisation), la septième étape du rallye Dakar entre Mendoza et Valparaiso vendredi marque le passage de l'Argentine au Chili, avec au bout de l'étape une journée de repos très attendue par tous.
Ouf ! C'est certainement le souffle qui résonnera le plus dans le bivouac de Valparaiso en soirée.
Les concurrents en auront en effet fini avec trois étapes terriblement éprouvante, obligeant les organisateurs à neutraliser la course mercredi et jeudi.
Et la spéciale du jour, prévue d'une longueur de 419 km pour un total de 625 pour l'étape, propose le même type de terrain: des dunes et du fesh-fesh (le guadal local), qui rappellera à beaucoup le Sahara. Ensuite, ce sera l'entrée dans la mythique Cordillère des Andes, avec des passages -les seuls de ce rallye- à plus de 3000 m.
Au loin, ils apercevront même l'Aconcagua, point culminant du continent américain (6.959 m).
L'étape s'achèvera sur la plage de Valparaiso, ville jalonnée de funiculaires pour accéder au sommet de la falaise qui surplombe l'Océan Pacifique, comme Salvador de Bahia au Brésil.
Deuxième ville du pays, Valparaiso est le lieu de villégiature préféré des Chiliens et notamment des habitants de Santiago.
Ensuite, ce sera une journée de repos bien méritée pour tout le monde.
Car jeudi, selon les résultats officieux des autopsies révélés par le chef du département des opérations de la police de La Pampa (centre-sud), Julio Acosta, la caravane a appris que le motard Terry serait décédé d'un "oedème pulmonaire" et qu'il "aurait pu être sauvé s'il avait été secouru à temps".
Officiellement, la direction de course n'a aucune information sur les résultats de l'enquête et de l'autopsie pratiquée par les autorités argentines sur Terry, disparu dimanche mais dont le corps a été retrouvé mercredi matin.
Côté course, le fait du jour est évidemment l'exclusion d'Al Attiyah et de sa copilote suédoise Tina Thorner, à l'issue d'une spéciale raccourcie à 178 km en raison des terribles conditions de la veille et d'un gué rendu infranchissable par la pluie.
Nasser Al Attiyah, vainqueur des étapes N.1 et N.3 sur sa BMW, a été exclu pour avoir manqué 9 points de passage obligatoire.
Le Qatarien a été victime d'un problème de radiateur et a préféré éviter le terrible cordon de dunes qui se présentait à lui.
Du coup, le Sud-Africain Giniel De Villiers fait coup double. Il est déclaré vainqueur de l'étape et devient leader au classement général.
Il devance l'Espagnol Carlos Sainz et l'Américain Mark Miller pour un triplé Volkswagen.
Comme BMW, Mitsubishi a perdu un élément, avec l'abandon de Luc Alphand après un malaise de son co-pilote Gilles Picard.
Au 12e km, Alphand et Picard étaient coincés dans la boue. En voulant dégager la voiture, Picard s'est senti mal. Par précaution, Alphand a préféré appeler l'hélico pour un contrôle. Et Picard a été évacué vers le bivouac de San Rafael, où son état a été jugé bon.
En moto, Cyril Despres a souri. Enfin ! Après tous ses déboires depuis Buenos Aires, le double vainqueur (2005 et 2007) a obtenu sa première victoire d'étape.