"Que l'UMP désigne NKM (Nathalie Kosciusko-Morizet) et commençons la campagne municipale maintenant ! Elle a déjà été choisie par les médias et le système, la réalité est celle-là, même si je le regrette pour les autres candidats", explique la maire UMP du VIIe arrondissement de Paris, en ajoutant: "Dans ce contexte, je retire ma candidature".
Elle relève que "le plus dur n'est pas de gagner la primaire, mais de rassembler son camp pour gagner Paris".
L'ex-garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy (2007-2009) estime que la députée de l'Essonne a levé, "à (ses) yeux" les doutes sur sa volonté de s'impliquer à Paris, mais elle ajoute qu'aux "yeux des Parisiens, tout reste à faire".
"Chacun doit bien réfléchir à ce que vivent aujourd'hui les Français, je n'oublie pas que Jean-Marie Le Pen a été élu du XXe arrondissement au moment où la gauche précipitait le pays dans la crise au début des années 80".
Rachida Dati conseille à NKM pour "compenser son défaut d'implantation" dans la capitale d'avoir "un acte de courage", en allant "dans un arrondissement où se joue en partie notre victoire, par exemple le XIIe arrondissement".
Comme on lui fait remarquer que Mme Kosciusko-Morizet souhaitait sa présence à la primaire "afin de lui apporter de la crédibilité", Mme Dati répond: "Je suis flattée que NKM ait besoin de moi pour asseoir sa crédibilité à Paris, mais gagner la mairie est plus important que de petites histoires d'appareil".
Elle assure qu'elle participera "ardemment à la campagne" et que son "implication sera totale sur le terrain". "Ma crédibilité et ma notoriété seront au service de mon camp", assure Mme Dati.
Questionnée sur sa propre candidature à sa réélection dans le VIIe arrondissement où elle pourrait devoir affronter des listes dissidentes, Rachida Dati réplique que "ceux qui mènent les dissidences ne servent que les intérêts des socialistes". "Ce ne sont que des aventures personnelles", selon elle.
Elle relève que "le plus dur n'est pas de gagner la primaire, mais de rassembler son camp pour gagner Paris".
L'ex-garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy (2007-2009) estime que la députée de l'Essonne a levé, "à (ses) yeux" les doutes sur sa volonté de s'impliquer à Paris, mais elle ajoute qu'aux "yeux des Parisiens, tout reste à faire".
"Chacun doit bien réfléchir à ce que vivent aujourd'hui les Français, je n'oublie pas que Jean-Marie Le Pen a été élu du XXe arrondissement au moment où la gauche précipitait le pays dans la crise au début des années 80".
Rachida Dati conseille à NKM pour "compenser son défaut d'implantation" dans la capitale d'avoir "un acte de courage", en allant "dans un arrondissement où se joue en partie notre victoire, par exemple le XIIe arrondissement".
Comme on lui fait remarquer que Mme Kosciusko-Morizet souhaitait sa présence à la primaire "afin de lui apporter de la crédibilité", Mme Dati répond: "Je suis flattée que NKM ait besoin de moi pour asseoir sa crédibilité à Paris, mais gagner la mairie est plus important que de petites histoires d'appareil".
Elle assure qu'elle participera "ardemment à la campagne" et que son "implication sera totale sur le terrain". "Ma crédibilité et ma notoriété seront au service de mon camp", assure Mme Dati.
Questionnée sur sa propre candidature à sa réélection dans le VIIe arrondissement où elle pourrait devoir affronter des listes dissidentes, Rachida Dati réplique que "ceux qui mènent les dissidences ne servent que les intérêts des socialistes". "Ce ne sont que des aventures personnelles", selon elle.