La reine Elizabeth
Auxquelles elle n'est pas censée prendre part samedi, a dit son porte-parole Robert Gibbs lundi. «Nous sommes en train de travailler avec les parties concernées pour que cela soit le cas», a-t-il déclaré.
C'est pour l'instant le Premier ministre britannique Gordon Brown qui est annoncé en Normandie.
Le débat sur la présence ou non de la reine avait été ouvert la semaine passée avec un article du tabloïd britannique Daily Mail affirmant qu'elle était furieuse de ne pas avoir été invitée.
Après les nouvelles déclarations venues de la Maison Blanche, le palais de Buckingham a redit lundi par la voix d'une porte-parole ce qu'il avait dit la semaine passée: «Ni la reine, ni aucun autre membre de la famille royale n'assisteront aux commémorations du Jour-J puisque nous n'avons reçu aucune invitation officielle à aucun de ces événements».
Le Premier ministre britannique s'est pourtant déclaré prêt à faire le nécessaire pour que la reine soit là: «Si la reine ou des membres de la famille royale étaient en mesure ou voulaient se rendre aux commémorations du Jour-J, je ferais en sorte que cela se produise», a-t-il déclaré à la chaîne Sky News.
Devant ce qui risquait de passer pour un affront fait à la reine, le porte-parole du gouvernement français, Luc Chatel, avait rapidement souligné après la publication du Daily Mail que la reine était «naturellement» la bienvenue.
L'affaire est d'autant plus scabreuse qu'Elizabeth II est le dernier chef d'Etat encore en vie à avoir porté l'uniforme pendant la Seconde Guerre mondiale, que les Britanniques ont payé un lourd tribut le Jour-J et que la première visite d'Obama sur les plages du Débarquement risque d'avoir un retentissement considérable.
C'est pour l'instant le Premier ministre britannique Gordon Brown qui est annoncé en Normandie.
Le débat sur la présence ou non de la reine avait été ouvert la semaine passée avec un article du tabloïd britannique Daily Mail affirmant qu'elle était furieuse de ne pas avoir été invitée.
Après les nouvelles déclarations venues de la Maison Blanche, le palais de Buckingham a redit lundi par la voix d'une porte-parole ce qu'il avait dit la semaine passée: «Ni la reine, ni aucun autre membre de la famille royale n'assisteront aux commémorations du Jour-J puisque nous n'avons reçu aucune invitation officielle à aucun de ces événements».
Le Premier ministre britannique s'est pourtant déclaré prêt à faire le nécessaire pour que la reine soit là: «Si la reine ou des membres de la famille royale étaient en mesure ou voulaient se rendre aux commémorations du Jour-J, je ferais en sorte que cela se produise», a-t-il déclaré à la chaîne Sky News.
Devant ce qui risquait de passer pour un affront fait à la reine, le porte-parole du gouvernement français, Luc Chatel, avait rapidement souligné après la publication du Daily Mail que la reine était «naturellement» la bienvenue.
L'affaire est d'autant plus scabreuse qu'Elizabeth II est le dernier chef d'Etat encore en vie à avoir porté l'uniforme pendant la Seconde Guerre mondiale, que les Britanniques ont payé un lourd tribut le Jour-J et que la première visite d'Obama sur les plages du Débarquement risque d'avoir un retentissement considérable.