"C'est un obus de mortier qui est tombé près de l'ambassade d'Iran, brisant quelques vitres mais ne faisant pas de victimes", a déclaré un officier de police à l'AFP. Cette ambassade se trouve à quelques centaines de mètres de la Zone verte, secteur ultra-protégé où se déroule le sommet.
Des jihadistes avaient sur leur site appelé il y a deux jours à "frapper le quartier général du sommet arabe".
Neuf des 21 chefs d'Etat arabes conviés à la réunion (la Syrie en a été exclue en raison de la répression) y participent: les autres pays sont représentés par des ministres d'Etat ou des ambassadeurs.
Le discours d'ouverture a été prononcé par le président du Conseil national de transition libyen (CNT) Moustapha Abdeljalil, dont le pays assurait la présidence tournante de Ligue.
Lors du sommet de Syrte en 2010, c'était le colonel Mouammar Kadhafi qui présidait le sommet. Il a été depuis renversé et tué.
Réunis au Palais républicain, les chefs d'Etat arabes sont apparus à la télévision assis autour d'une table ovale.
Cette réunion, qui officialise le retour de l'Irak au sein de la famille arabe, est marquée par la venue historique de l'émir du Koweït, plus de vingt ans après l'invasion de son pays par les troupes de Saddam Hussein, le dictateur exécuté fin 2006.
Ils doivent notamment marquer l'appui au peuple syrien sans demander toutefois le départ du président Bachar al-Assad qu'ils ont banni de leur réunion.
Des jihadistes avaient sur leur site appelé il y a deux jours à "frapper le quartier général du sommet arabe".
Neuf des 21 chefs d'Etat arabes conviés à la réunion (la Syrie en a été exclue en raison de la répression) y participent: les autres pays sont représentés par des ministres d'Etat ou des ambassadeurs.
Le discours d'ouverture a été prononcé par le président du Conseil national de transition libyen (CNT) Moustapha Abdeljalil, dont le pays assurait la présidence tournante de Ligue.
Lors du sommet de Syrte en 2010, c'était le colonel Mouammar Kadhafi qui présidait le sommet. Il a été depuis renversé et tué.
Réunis au Palais républicain, les chefs d'Etat arabes sont apparus à la télévision assis autour d'une table ovale.
Cette réunion, qui officialise le retour de l'Irak au sein de la famille arabe, est marquée par la venue historique de l'émir du Koweït, plus de vingt ans après l'invasion de son pays par les troupes de Saddam Hussein, le dictateur exécuté fin 2006.
Ils doivent notamment marquer l'appui au peuple syrien sans demander toutefois le départ du président Bachar al-Assad qu'ils ont banni de leur réunion.