Juan Maria Bordaberry
L'ancien dirigeant, qui avait été élu démocratiquement en 1971, avait instauré une dictature deux ans plus tard, avant d'être déposé par l'armée en 1976.
Il avait été condamné l'année dernière à une peine de 30 ans de prison, accusé, entre autres, d'avoir fait assassiner nombre de ses opposants politiques.
En raison de son état de santé dégradé, Juan Maria Bordaberry avait été autorisé à purger sa peine à son domicile, dans le cadre d'une assignation à résidence.
L'annonce de la mort de l'ancien dictateur a suscité de nombreuses réactions en Uruguay, notamment celle de Luis Alberto Heber, le chef de file du Parti National (centre-droit).
"La génération qui a semé la violence en Uruguay est en passe de s'éteindre. Une page est en train de se tourner", a-t-il dit sur les ondes d'une radio locale.
Le coup d'Etat de Juan Maria Bordaberry, en 1973, avait ouvert la voie à 12 ans de régime militaire en Uruguay, jusqu'en 1985. Au cours cette période sombre, près de 200 personnes ont été enlevées et tuées.
Il avait été condamné l'année dernière à une peine de 30 ans de prison, accusé, entre autres, d'avoir fait assassiner nombre de ses opposants politiques.
En raison de son état de santé dégradé, Juan Maria Bordaberry avait été autorisé à purger sa peine à son domicile, dans le cadre d'une assignation à résidence.
L'annonce de la mort de l'ancien dictateur a suscité de nombreuses réactions en Uruguay, notamment celle de Luis Alberto Heber, le chef de file du Parti National (centre-droit).
"La génération qui a semé la violence en Uruguay est en passe de s'éteindre. Une page est en train de se tourner", a-t-il dit sur les ondes d'une radio locale.
Le coup d'Etat de Juan Maria Bordaberry, en 1973, avait ouvert la voie à 12 ans de régime militaire en Uruguay, jusqu'en 1985. Au cours cette période sombre, près de 200 personnes ont été enlevées et tuées.