
Après un passage par le Service du travail obligatoire (STO) pendant la Deuxième guerre mondiale, Jean-Louis Forest avait intégré la rédaction du journal tourangeau en 1946. Il y mènera toute sa carrière au service des sports, où il couvrira plusieurs jeux Olympiques (Mexico en 1968, Munich en 1972) et entrera au directoire du journal en 1973.
En 1983, Jean-Louis Forest devient PDG de l'Agence centrale de presse (ACP), concurrente de l'Agence France-Presse, jusqu'à la fermeture de cette agence nationale au début des années 1990.
"Profondément affecté par le STO", le journaliste a par ailleurs présidé pendant plus d'un demi-siècle (1951 à 2004) la Fédération des victimes et rescapés des camps nazis du travail forcé, rappelle Jacques Saint-Cricq, président du conseil de surveillance du quotidien, dans sa nécrologie.
En 1983, Jean-Louis Forest devient PDG de l'Agence centrale de presse (ACP), concurrente de l'Agence France-Presse, jusqu'à la fermeture de cette agence nationale au début des années 1990.
"Profondément affecté par le STO", le journaliste a par ailleurs présidé pendant plus d'un demi-siècle (1951 à 2004) la Fédération des victimes et rescapés des camps nazis du travail forcé, rappelle Jacques Saint-Cricq, président du conseil de surveillance du quotidien, dans sa nécrologie.