Les militants s'étaient enchaînés à des équipements portuaires appartenant à un grand groupe forestier indonésien, Asia Pulp and Paper's (APP), que Greenpeace accuse d'accélérer la "déforestation rampante" de Sumatra afin d'y développer de vastes plantations d'acacias, pour la pulpe et la pâte à papier.
"Quatorze de nos militants ont été interpellés après avoir déployé une banderole +Destruction de la forêt: vous pouvez la stopper+. Mais quatre autres sont toujours sur une grue, où ils entendent rester aussi longtemps que possible", a indiqué Martin Baker, responsable de la communication de Greenpeace.
Au cours des deux dernières semaines, l'Indonésie a expulsé 13 militants de l'ONG et deux journalistes, un Italien et une Indienne, qui couvraient leur manifestation.
Greenpeace multiplie les opérations médiatiques afin de pousser l'Indonésie, troisième plus gros pays émetteur de gaz à effet à serre à cause de la déforestation, à "prendre un rôle de leader" au sommet prévu en décembre à Copenhague.
"Quatorze de nos militants ont été interpellés après avoir déployé une banderole +Destruction de la forêt: vous pouvez la stopper+. Mais quatre autres sont toujours sur une grue, où ils entendent rester aussi longtemps que possible", a indiqué Martin Baker, responsable de la communication de Greenpeace.
Au cours des deux dernières semaines, l'Indonésie a expulsé 13 militants de l'ONG et deux journalistes, un Italien et une Indienne, qui couvraient leur manifestation.
Greenpeace multiplie les opérations médiatiques afin de pousser l'Indonésie, troisième plus gros pays émetteur de gaz à effet à serre à cause de la déforestation, à "prendre un rôle de leader" au sommet prévu en décembre à Copenhague.