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Il faut saluer le courage – la témérité ? – de Denise Bombardier, qui s’est invitée – imposée ? – dans l’entourage de Céline Dion, à l’apogée de sa carrière stratosphérique.
Mme Bombardier a investi des moyens considérables, pour suivre la diva dans sa dernière grande tournée, qui a débuté en Afrique du Sud, et touché quatre autres continents, avant de se terminer en apothéose ici à Montréal, il y a quelques semaines à peine.
Denise Bombardier a donc relevé un défi qui aurait sans doute terrorisé n’importe qui d’autre : comment, à l’aide d’une plume et de mots, décrire un phénomène qui est essentiellement audiovisuel? Et surtout, comment trouver quelque chose de neuf à dire sur un sujet aussi surexposé et contrôlé?
Le mari et impresario de Céline Dion, reconnu pour son contrôle minutieux de l’image et des communications de sa vedette, collaborait déjà avec Georges-Hébert Germain, qui, au même moment, rédigeait Le joueur, la biographie d’Angélil. Il est clair que plusieurs portes, qui se sont ouvertes pour lui, sont restées fermées pour Mme Bombardier.
Donc, une grosse commande, et de sérieuses embûches pour Denise Bombardier, qui a quand même produit, avec L’énigmatique Céline Dion, un livre sympathique, bien écrit, d’une lecture agréable, et qui fait de vaillants efforts pour être à la hauteur des attentes qu’il suscite.
Il nous promet de nous amener «dans l’intimité de Céline Dion». Pas vraiment. Mais il nous amène dans son entourage. Mme Bombardier y est une observatrice rapprochée, plus qu’un membre en règle, et qui se pose plus de questions qu’elle ne trouve de réponses. Mais ces questions sont pertinentes, et les hypothèses qu’elle avance pour y répondre, intéressantes et réfléchies.
Mme Bombardier a investi des moyens considérables, pour suivre la diva dans sa dernière grande tournée, qui a débuté en Afrique du Sud, et touché quatre autres continents, avant de se terminer en apothéose ici à Montréal, il y a quelques semaines à peine.
Denise Bombardier a donc relevé un défi qui aurait sans doute terrorisé n’importe qui d’autre : comment, à l’aide d’une plume et de mots, décrire un phénomène qui est essentiellement audiovisuel? Et surtout, comment trouver quelque chose de neuf à dire sur un sujet aussi surexposé et contrôlé?
Le mari et impresario de Céline Dion, reconnu pour son contrôle minutieux de l’image et des communications de sa vedette, collaborait déjà avec Georges-Hébert Germain, qui, au même moment, rédigeait Le joueur, la biographie d’Angélil. Il est clair que plusieurs portes, qui se sont ouvertes pour lui, sont restées fermées pour Mme Bombardier.
Donc, une grosse commande, et de sérieuses embûches pour Denise Bombardier, qui a quand même produit, avec L’énigmatique Céline Dion, un livre sympathique, bien écrit, d’une lecture agréable, et qui fait de vaillants efforts pour être à la hauteur des attentes qu’il suscite.
Il nous promet de nous amener «dans l’intimité de Céline Dion». Pas vraiment. Mais il nous amène dans son entourage. Mme Bombardier y est une observatrice rapprochée, plus qu’un membre en règle, et qui se pose plus de questions qu’elle ne trouve de réponses. Mais ces questions sont pertinentes, et les hypothèses qu’elle avance pour y répondre, intéressantes et réfléchies.
