L’ancienne colonie britannique est agitée depuis plus de cinq mois par un mouvement de contestation dénonçant l’influence exercée par la Chine sur les affaires de la ville et réclamant le respect de principes démocratiques.
Les participants à ce mouvement dénoncent aussi des brutalités policières, que les forces de l’ordre démentent.
Agitant des drapeaux de la Chine et de Hong Kong, des manifestants se sont rassemblés samedi devant le Parlement local et le siège de la police. Certains ont brandi des pancartes affirmant “Policiers, nous sommes à vos côtés”, tandis que d’autres scandaient “Soutenez la police”.
Des rassemblements pro-chinois ont déjà eu lieu depuis le début du mouvement de contestation à Hong Kong mais ils ont réuni nettement moins de personnes que les manifestations hostiles au pouvoir chinois.
“Du plus profond de nos coeurs, nous pensons que c’est la bonne chose de soutenir la police dans son combat contre les émeutiers pour les citoyens de Hong Kong”, a dit Kong, femme au foyer de 49 ans.
“Beaucoup de gens restent silencieux, par peur des émeutiers. Le moment est venu pour toutes les personnes qui restent silencieuses de se lever et de dire ça suffit.”
La Chine dément toute ingérence dans les affaires de Hong Kong. Elle dit respecter le principe d’”un pays, deux systèmes” adopté lors de la rétrocession en 1997 mais a prévenu qu’elle ne tolérerait aucune tentative d’indépendance.
Le président chinois Xi Jinping, qui a réaffirmé le soutien de Pékin à Carrie Lam, présidente de l’exécutif local, a déclaré jeudi que la priorité à Hong Kong était de rétablir l’ordre.
Les participants à ce mouvement dénoncent aussi des brutalités policières, que les forces de l’ordre démentent.
Agitant des drapeaux de la Chine et de Hong Kong, des manifestants se sont rassemblés samedi devant le Parlement local et le siège de la police. Certains ont brandi des pancartes affirmant “Policiers, nous sommes à vos côtés”, tandis que d’autres scandaient “Soutenez la police”.
Des rassemblements pro-chinois ont déjà eu lieu depuis le début du mouvement de contestation à Hong Kong mais ils ont réuni nettement moins de personnes que les manifestations hostiles au pouvoir chinois.
“Du plus profond de nos coeurs, nous pensons que c’est la bonne chose de soutenir la police dans son combat contre les émeutiers pour les citoyens de Hong Kong”, a dit Kong, femme au foyer de 49 ans.
“Beaucoup de gens restent silencieux, par peur des émeutiers. Le moment est venu pour toutes les personnes qui restent silencieuses de se lever et de dire ça suffit.”
La Chine dément toute ingérence dans les affaires de Hong Kong. Elle dit respecter le principe d’”un pays, deux systèmes” adopté lors de la rétrocession en 1997 mais a prévenu qu’elle ne tolérerait aucune tentative d’indépendance.
Le président chinois Xi Jinping, qui a réaffirmé le soutien de Pékin à Carrie Lam, présidente de l’exécutif local, a déclaré jeudi que la priorité à Hong Kong était de rétablir l’ordre.